Union économique d’Afrique centrale : le budget en discussion

En prélude au conseil des ministres de l’institution, les travaux de la 34e session ordinaire du comité inter-Etats se sont ouverts hier à Yaoundé

Banque mondiale. Evènement au terme duquel il a été décidé d’un engagement de l’institution à financer le processus d’intégration régionale à l’échelle continentale et dans la sous-région en particulier.

 

 

 

Une aide qui constitue une véritable manne, ce d’autant plus que selon un constat issu des récentes rencontres internationales, l’Ueac qui a connu une période trouble liée notamment à la chute du cours du pétrole, voit une amélioration des principaux indicateurs macro-économiques. « Les efforts des politiques de stabilisation portent des fruits tels que la résorption des déséquilibres budgétaires et le redressement des réserves de changes », a relevé Daniel Ona Ondo. Cependant, la communauté n’est pas complétement sortie d’affaire, car, il subsiste selon lui, des facteurs de vulnérabilité. Au rang de ceux-ci, la faible croissance du secteur pétrolier, le ralentissement en 2018 de la croissance du secteur hors pétrole soit, 1,7% après un taux de 2,3% en 2017 ainsi que la faiblesse du commerce intra régional du fait des obstacles sur les corridors de transports routiers.

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Le comité Inter-Etats de l’Union économique d’Afrique centrale (Ueac) s’est réuni jeudi, 31 octobre 2019 à Yaoundé en session ordinaire. Sur la table des échanges, l’examen des documents budgétaires de la communauté avant leur adoption par le Conseil des ministres de l’Ueac. En ouvrant les assises, Daniel Ona Ondo, président de la commission est revenu sur l’enjeu de la rencontre. A savoir, apporter un regard critique sur l’ensemble des documents présentés par les institutions de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Charles Assamba Ongodo, président en exercice du comité inter-Etats, par ailleurs directeur général de la Coopération et de l’Intégration régionale au ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), a précisé que les assises se tiennent dans un contexte marqué par la tenue en octobre dernier, des assemblées annuelles de la Banque mondiale. Evènement au terme duquel il a été décidé d’un engagement de l’institution à financer le processus d’intégration régionale à l’échelle continentale et dans la sous-région en particulier.

Une aide qui constitue une véritable manne, ce d’autant plus que selon un constat issu des récentes rencontres internationales, l’Ueac qui a connu une période trouble liée notamment à la chute du cours du pétrole, voit une amélioration des principaux indicateurs macro-économiques. « Les efforts des politiques de stabilisation portent des fruits tels que la résorption des déséquilibres budgétaires et le redressement des réserves de changes », a relevé Daniel Ona Ondo. Cependant, la communauté n’est pas complétement sortie d’affaire, car, il subsiste selon lui, des facteurs de vulnérabilité. Au rang de ceux-ci, la faible croissance du secteur pétrolier, le ralentissement en 2018 de la croissance du secteur hors pétrole soit, 1,7% après un taux de 2,3% en 2017 ainsi que la faiblesse du commerce intra régional du fait des obstacles sur les corridors de transports routiers.

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’Union économique d’Afrique centrale (Ueac) s’est réuni jeudi, 31 octobre 2019 à Yaoundé en session ordinaire. Sur la table des échanges, l’examen des documents budgétaires de la communauté avant leur adoption par le Conseil des ministres de l’Ueac. En ouvrant les assises, Daniel Ona Ondo, président de la commission est revenu sur l’enjeu de la rencontre. A savoir, apporter un regard critique sur l’ensemble des documents présentés par les institutions de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Charles Assamba Ongodo, président en exercice du comité inter-Etats, par ailleurs directeur général de la Coopération et de l’Intégration régionale au ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), a précisé que les assises se tiennent dans un contexte marqué par la tenue en octobre dernier, des assemblées annuelles de la Banque mondiale. Evènement au terme duquel il a été décidé d’un engagement de l’institution à financer le processus d’intégration régionale à l’échelle continentale et dans la sous-région en particulier.

 

Une aide qui constitue une véritable manne, ce d’autant plus que selon un constat issu des récentes rencontres internationales, l’Ueac qui a connu une période trouble liée notamment à la chute du cours du pétrole, voit une amélioration des principaux indicateurs macro-économiques. « Les efforts des politiques de stabilisation portent des fruits tels que la résorption des déséquilibres budgétaires et le redressement des réserves de changes », a relevé Daniel Ona Ondo. Cependant, la communauté n’est pas complétement sortie d’affaire, car, il subsiste selon lui, des facteurs de vulnérabilité. Au rang de ceux-ci, la faible croissance du secteur pétrolier, le ralentissement en 2018 de la croissance du secteur hors pétrole soit, 1,7% après un taux de 2,3% en 2017 ainsi que la faiblesse du commerce intra régional du fait des obstacles sur les corridors de transports routiers.

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Le comité Inter-Etats de l’Union économique d’Afrique centrale (Ueac) s’est réuni jeudi, 31 octobre 2019 à Yaoundé en session ordinaire. Sur la table des échanges, l’examen des documents budgétaires de la communauté avant leur adoption par le Conseil des ministres de l’Ueac. En ouvrant les assises, Daniel Ona Ondo, président de la commission est revenu sur l’enjeu de la rencontre. A savoir, apporter un regard critique sur l’ensemble des documents présentés par les institutions de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Charles Assamba Ongodo, président en exercice du comité inter-Etats, par ailleurs directeur général de la Coopération et de l’Intégration régionale au ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), a précisé que les assises se tiennent dans un contexte marqué par la tenue en octobre dernier, des assemblées annuelles de la Banque mondiale. Evènement au terme duquel il a été décidé d’un engagement de l’institution à financer le processus d’intégration régionale à l’échelle continentale et dans la sous-région en particulier.

Une aide qui constitue une véritable manne, ce d’autant plus que selon un constat issu des récentes rencontres internationales, l’Ueac qui a connu une période trouble liée notamment à la chute du cours du pétrole, voit une amélioration des principaux indicateurs macro-économiques. « Les efforts des politiques de stabilisation portent des fruits tels que la résorption des déséquilibres budgétaires et le redressement des réserves de changes », a relevé Daniel Ona Ondo. Cependant, la communauté n’est pas complétement sortie d’affaire, car, il subsiste selon lui, des facteurs de vulnérabilité. Au rang de ceux-ci, la faible croissance du secteur pétrolier, le ralentissement en 2018 de la croissance du secteur hors pétrole soit, 1,7% après un taux de 2,3% en 2017 ainsi que la faiblesse du commerce intra régional du fait des obstacles sur les corridors de transports routiers.

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Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Charles Assamba Ongodo, président en exercice du comité inter-Etats, par ailleurs directeur général de la Coopération et de l’Intégration régionale au ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), a précisé que les assises se tiennent dans un contexte marqué par la tenue en octobre dernier, des assemblées annuelles de la Banque mondiale. Evènement au terme duquel il a été décidé d’un engagement de l’institution à financer le processus d’intégration régionale à l’échelle continentale et dans la sous-région en particulier.

 

 

Une aide qui constitue une véritable manne, ce d’autant plus que selon un constat issu des récentes rencontres internationales, l’Ueac qui a connu une période trouble liée notamment à la chute du cours du pétrole, voit une amélioration des principaux indicateurs macro-économiques. « Les efforts des politiques de stabilisation portent des fruits tels que la résorption des déséquilibres budgétaires et le redressement des réserves de changes », a relevé Daniel Ona Ondo. Cependant, la communauté n’est pas complétement sortie d’affaire, car, il subsiste selon lui, des facteurs de vulnérabilité. Au rang de ceux-ci, la faible croissance du secteur pétrolier, le ralentissement en 2018 de la croissance du secteur hors pétrole soit, 1,7% après un taux de 2,3% en 2017 ainsi que la faiblesse du commerce intra régional du fait des obstacles sur les corridors de transports routiers.

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Le comité Inter-Etats de l’Union économique d’Afrique centrale (Ueac) s’est réuni jeudi, 31 octobre 2019 à Yaoundé en session ordinaire. Sur la table des échanges, l’examen des documents budgétaires de la communauté avant leur adoption par le Conseil des ministres de l’Ueac. En ouvrant les assises, Daniel Ona Ondo, président de la commission est revenu sur l’enjeu de la rencontre. A savoir, apporter un regard critique sur l’ensemble des documents présentés par les institutions de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Charles Assamba Ongodo, président en exercice du comité inter-Etats, par ailleurs directeur général de la Coopération et de l’Intégration régionale au ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), a précisé que les assises se tiennent dans un contexte marqué par la tenue en octobre dernier, des assemblées annuelles de la Banque mondiale. Evènement au terme duquel il a été décidé d’un engagement de l’instituti...

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