Paul Biya : la paix en 100 actions

L’édition spéciale du magazine bilingue Hommage à la République vient de parcourir les différents faits marquants du président de la République dans ce domaine.

« Paul Biya, le mendiant de la Paix » ; « Paul Biya, l’artisan de la Paix » ; « Paul Biya, l’apôtre de la Paix »… De nombreux qualificatifs sont nés depuis de longues années pour saluer ce penchant du président de la République à œuvrer inlassablement vers la recherche de la quiétude entre les différentes composantes sociales, non seulement dans son pays le Cameroun, mais également dans la sous-région Afrique centrale et même dans le monde. Le magazine bilingue Hommage à la République vient ainsi de consacrer une édition spéciale à cet aspect de l’œuvre du chef de l’Etat. Pas moins de 155 pages permettent ainsi de parcourir la recherche de la paix par Paul Biya dans des domaines aussi variés que la politique, l’économie, la santé, le développement technologique, l’agriculture, l’éducation, le sport et même la parité homme-femme, pour ce qui est par exemple du traitement salarial. D’entrée de jeu, le directeur de la publication, Adrien Bonny Eboumbou, dans son éditorial de circonstance se veut clair lorsqu’il affirme que « la présente publication n’a pas pour objectif de « forcer » les regards, ni de rectifier les désaffections politiques », mais simplement, de relever « les actions d’un homme d’Etat en faveur de la paix, pour son pays et pour l’Afrique », ceci à travers un inventaire non exhaustif des actions qui brisent les barrières des chapelles politiques.
Dans cette quête effrénée de la paix, le président de la République a dû se déployer dans ce que l’auteur appelle « la paix négative » qui renvoie à son déploiement dans les zones de conflit. Ici, le déploiement du président Paul Biya sur les différents théâtres où règnent l’insécurité l’aura notamment amené dans des endroits aussi variés que son Cameroun natal à travers sa décision restée historique de voir régler pacifiquement le conflit dans la péninsule de Bakassi, la lutte contre la secte terroriste Boko-Haram, la lutte contre la piraterie maritime dans le golfe de Guinée, la recherche d’une solution pacifique dans la crise qui secoue les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, la gestion des réfugiés ou encore l’engagement du Cameroun dans différentes opérations de maintien de la paix à travers le monde sous le couvert de l’ONU. Une opposition à tout conflit armé qui l’avait notamment amené à marquer l’opposition du Cameroun à un conflit en Irak en 2003, alors même que notre pays assurait la présidence du Conseil de sécurité des Nations unies. Environ une quarantaine de pages sont consacrés à ce volet dans le magazine.
Quant à « la paix positive », elle renvoie le lecteur à la notion de sécurité publique et s’attèle au traitement « des menaces complexes et multiples qui pèsent sur les populations ». La publication traite de sujets aussi divers que la libéralisation de la vie politique, la réhabilitation de certaines figures de l’Histoire de notre pays à l’instar de l’ancien président Ahmadou Ahidjo, Ruben Um Nyobé, Félix-Roland Moumié ou encore Ernest Ouandié, ceci à la faveur de la promulgation le 16 décembre 1991 de la loi y relative. Que dire du retour au bercail de certains exilés politiques comme Ndeh Ntumazah, Ngouo Woungly Massaga, Mongo Beti ou encore l’actuel ministre d’Etat, Maïgari ...

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