Cameroun – Comores: En toute fraternité

Arrivé à Yaoundé pour assister à l’ouverture de la 33e Can TotalEnergies 2021, le président de l’Union des Comores, Azali Assoumani a salué la bonne organisation de la compétition au cours d’un entretien hier au Palais de l’Unité avec son homologue camero

« Je garde le souvenir d’une organisation parfaite de la compétition… J’ai été très séduit par cette organisation… Nous avons démontré que l’Afrique peut, surtout le Cameroun, un pays qui a beaucoup d’expérience… Un message très important a été adressé aux détracteurs qui ne voulaient pas que l’événement se fasse ici ». A sa sortie d’audience hier matin au Palais de l’Unité, où il a été reçu pendant près d’une heure par son homologue camerounais, Paul Biya, le président de l’Union des Comores, Azali Assoumani n’a pas tari d’éloges sur la compétition qui se déroule en terre camerounaise depuis dimanche dernier.

 

 

 

Et c’est en spectateur averti, ayant assisté, aux premières loges à la magnifique parade et au début de la compétition dimanche dernier, que le chef de l’Etat comorien s’exprimait. Arrivé au Cameroun samedi dernier pour assister à l’ouverture de la 33e édition de la Can TotalEnergies 2021, le président Azali Assoumani était donc aux côtés de son frère, le président Paul Biya au Stade d’Olembe qui a abrité l’ouverture de la compétition. On pouvait donc comprendre la place occupée par le sport lors de l’audience d’hier au Palais de l’Unité. Mais il n’y avait que le sport, passion que partagent les deux chefs d’Etat, au menu des échanges. « Nous avons parlé de sport, mais également des relations bilatérales entre les deux pays », a fait savoir le président de l’Union des Comores.

Comme son homologue camerounais, le président Azali Assoumani partage l’idée d’une Afrique qui mutualise ses efforts dans son ambition de développement. Ceci permet, de son point de vue, de faire face aux divers défis auquel le continent est confronté. « Vous voyez par exemple le Covid-19 est venu nous apprendre que nous devons évoluer ensemble pour se gérer. Nous sommes un continent qui a beaucoup d’avenir et de potentialités. Nous avons besoin de partenariats, mais il faut que nous assumions d’abord nos responsabilités ». Des sujets qu’il a discutés avec le président de la République. En bonne place également, la coopération bilatérale. Les Comores bénéficient en effet de l’expertise camerounaise en matière de formation des cadres.

Dans son échange avec la presse sur le perron du Palais de l’Unité, c’est par le sport que le président de l’Union des Comores a conclu les échanges en disant une fois encore sa satisfaction d’avoir été présent à l’ouverture de la 33e Can : « Je suis fier pour le Cameroun et pour l’Afrique. Nous disons, aujourd’hui la Can, et pourquoi pas demain la Coupe du monde. C’est une possibilité ». Le président Azali Assoumani a été accueilli à sa descente de voiture, par le chef du protocole d’Etat, Simon Pierre Bikele, avant d’être salué sur le perron du Palais de l’Unité par le ministre, directeur du Cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, qui l’a en outre raccompagné à sa limousine à la fin de l’audience.

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« Je garde le souvenir d’une organisation parfaite de la compétition… J’ai été très séduit par cette organisation… Nous avons démontré que l’Afrique peut, surtout le Cameroun, un pays qui a beaucoup d’expérience… Un message très important a été adressé aux détracteurs qui ne voulaient pas que l’événement se fasse ici ». A sa sortie d’audience hier matin au Palais de l’Unité, où il a été reçu pendant près d’une heure par son homologue camerounais, Paul Biya, le président de l’Union des Comores, Azali Assoumani n’a pas tari d’éloges sur la compétition qui se déroule en terre camerounaise depuis dimanche dernier.

Et c’est en spectateur averti, ayant assisté, aux premières loges à la magnifique parade et au début de la compétition dimanche dernier, que le chef de l’Etat comorien s’exprimait. Arrivé au Cameroun samedi dernier pour assister à l’ouverture de la 33e édition de la Can TotalEnergies 2021, le président Azali Assoumani était donc aux côtés de son frère, le président Paul Biya au Stade d’Olembe qui a abrité l’ouverture de la compétition. On pouvait donc comprendre la place occupée par le sport lors de l’audience d’hier au Palais de l’Unité. Mais il n’y avait que le sport, passion que partagent les deux chefs d’Etat, au menu des échanges. « Nous avons parlé de sport, mais également des relations bilatérales entre les deux pays », a fait savoir le président de l’Union des Comores.

Comme son homologue camerounais, le président Azali Assoumani partage l’idée d’une Afrique qui mutualise ses efforts dans son ambition de développement. Ceci permet, de son point de vue, de faire face aux divers défis auquel le continent est confronté. « Vous voyez par exemple le Covid-19 est venu nous apprendre que nous devons évoluer ensemble pour se gérer. Nous sommes un continent qui a beaucoup d’avenir et de potentialités. Nous avons besoin de partenariats, mais il faut que nous assumions d’abord nos responsabilités ». Des sujets qu’il a discutés avec le président de la République. En bonne place également, la coopération bilatérale. Les Comores bénéficient en effet de l’expertise camerounaise en matière de formation des cadres.

Dans son échange avec la presse sur le perron du Palais de l’Unité, c’est par le sport que le président de l’Union des Comores a conclu les échanges en disant une fois encore sa satisfaction d’avoir été présent à l’ouverture de la 33e Can : « Je suis fier pour le Cameroun et pour l’Afrique. Nous disons, aujourd’hui la Can, et pourquoi pas demain la Coupe du monde. C’est une possibilité ». Le président Azali Assoumani a été accueilli à sa descente de voiture, par le chef du protocole d’Etat, Simon Pierre Bikele, avant d’être salué sur le perron du Palais de l’Unité par le ministre, directeur du Cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, qui l’a en outre raccompagné à sa limousine à la fin de l’audience.

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« Je garde le souvenir d’une organisation parfaite de la compétition… J’ai été très séduit par cette organisation… Nous avons démontré que l’Afrique peut, surtout le Cameroun, un pays qui a beaucoup d’expérience… Un message très important a été adressé aux détracteurs qui ne voulaient pas que l’événement se fasse ici ». A sa sortie d’audience hier matin au Palais de l’Unité, où il a été reçu pendant près d’une heure par son homologue camerounais, Paul Biya, le président de l’Union des Comores, Azali Assoumani n’a pas tari d’éloges sur la compétition qui se déroule en terre camerounaise depuis dimanche dernier.

 

Et c’est en spectateur averti, ayant assisté, aux premières loges à la magnifique parade et au début de la compétition dimanche dernier, que le chef de l’Etat comorien s’exprimait. Arrivé au Cameroun samedi dernier pour assister à l’ouverture de la 33e édition de la Can TotalEnergies 2021, le président Azali Assoumani était donc aux côtés de son frère, le président Paul Biya au Stade d’Olembe qui a abrité l’ouverture de la compétition. On pouvait donc comprendre la place occupée par le sport lors de l’audience d’hier au Palais de l’Unité. Mais il n’y avait que le sport, passion que partagent les deux chefs d’Etat, au menu des échanges. « Nous avons parlé de sport, mais également des relations bilatérales entre les deux pays », a fait savoir le président de l’Union des Comores.

Comme son homologue camerounais, le président Azali Assoumani partage l’idée d’une Afrique qui mutualise ses efforts dans son ambition de développement. Ceci permet, de son point de vue, de faire face aux divers défis auquel le continent est confronté. « Vous voyez par exemple le Covid-19 est venu nous apprendre que nous devons évoluer ensemble pour se gérer. Nous sommes un continent qui a beaucoup d’avenir et de potentialités. Nous avons besoin de partenariats, mais il faut que nous assumions d’abord nos responsabilités ». Des sujets qu’il a discutés avec le président de la République. En bonne place également, la coopération bilatérale. Les Comores bénéficient en effet de l’expertise camerounaise en matière de formation des cadres.

Dans son échange avec la presse sur le perron du Palais de l’Unité, c’est par le sport que le président de l’Union des Comores a conclu les échanges en disant une fois encore sa satisfaction d’avoir été présent à l’ouverture de la 33e Can : « Je suis fier pour le Cameroun et pour l’Afrique. Nous disons, aujourd’hui la Can, et pourquoi pas demain la Coupe du monde. C’est une possibilité ». Le président Azali Assoumani a été accueilli à sa descente de voiture, par le chef du protocole d’Etat, Simon Pierre Bikele, avant d’être salué sur le perron du Palais de l’Unité par le ministre, directeur du Cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, qui l’a en outre raccompagné à sa limousine à la fin de l’audience.

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Et c’est en spectateur averti, ayant assisté, aux premières loges à la magnifique parade et au début de la compétition dimanche dernier, que le chef de l’Etat comorien s’exprimait. Arrivé au Cameroun samedi dernier pour assister à l’ouverture de la 33e édition de la Can TotalEnergies 2021, le président Azali Assoumani était donc aux côtés de son frère, le président Paul Biya au Stade d’Olembe qui a abrité l’ouverture de la compétition. On pouvait donc comprendre la place occupée par le sport lors de l’audience d’hier au Palais de l’Unité. Mais il n’y avait que le sport, passion que partagent les deux chefs d’Etat, au menu des échanges. « Nous avons parlé de sport, mais également des relations bilatérales entre les deux pays », a fait savoir le président de l’Union des Comores.

Comme son homologue camerounais, le président Azali Assoumani partage l’idée d’une Afrique qui mutualise ses efforts dans son ambition de développement. Ceci permet, de son point de vue, de faire face aux divers défis auquel le continent est confronté. « Vous voyez par exemple le Covid-19 est venu nous apprendre que nous devons évoluer ensemble pour se gérer. Nous sommes un continent qui a beaucoup d’avenir et de potentialités. Nous avons besoin de partenariats, mais il faut que nous assumions d’abord nos responsabilités ». Des sujets qu’il a discutés avec le président de la République. En bonne place également, la coopération bilatérale. Les Comores bénéficient en effet de l’expertise camerounaise en matière de formation des cadres.

Dans son échange avec la presse sur le perron du Palais de l’Unité, c’est par le sport que le président de l’Union des Comores a conclu les échanges en disant une fois encore sa satisfaction d’avoir été présent à l’ouverture de la 33e Can : « Je suis fier pour le Cameroun et pour l’Afrique. Nous disons, aujourd’hui la Can, et pourquoi pas demain la Coupe du monde. C’est une possibilité ». Le président Azali Assoumani a été accueilli à sa descente de voiture, par le chef du protocole d’Etat, Simon Pierre Bikele, avant d’être salué sur le perron du Palais de l’Unité par le ministre, directeur du Cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, qui l’a en outre raccompagné à sa limousine à la fin de l’audience.

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« Je garde le souvenir d’une organisation parfaite de la compétition… J’ai été très séduit par cette organisation… Nous avons démontré que l’Afrique peut, surtout le Cameroun, un pays qui a beaucoup d’expérience… Un message très important a été adressé aux détracteurs qui ne voulaient pas que l’événement se fasse ici ». A sa sortie d’audience hier matin au Palais de l’Unité, où il a été reçu pendant près d’une heure par son homologue camerounais, Paul Biya, le président de l’Union des Comores, Azali Assoumani n’a pas tari d’éloges sur la compétition qui se déroule en terre camerounaise depuis dimanche dernier.

 

 

Et c’est en spectateur averti, ayant assisté, aux premières loges à la magnifique parade et au début de la compétition dimanche dernier, que le chef de l’Etat comorien s’exprimait. Arrivé au Cameroun samedi dernier pour assister à l’ouverture de la 33e édition de la Can TotalEnergies 2021, le président Azali Assoumani était donc aux côtés de son frère, le président Paul Biya au Stade d’Olembe qui a abrité l’ouverture de la compétition. On pouvait donc comprendre la place occupée par le sport lors de l’audience d’hier au Palais de l’Unité. Mais il n’y avait que le sport, passion que partagent les deux chefs d’Etat, au menu des échanges. « Nous avons parlé de sport, mais également des relations bilatérales entre les deux pays », a fait savoir le président de l’Union des Comores.

Comme son homologue camerounais, le président Azali Assoumani partage l’idée d’une Afrique qui mutualise ses efforts dans son ambition de développement. Ceci permet, de son point de vue, de faire face aux divers défis auquel le continent est confronté. « Vous voyez par exemple le Covid-19 est venu nous apprendre que nous devons évoluer ensemble pour se gérer. Nous sommes un continent qui a beaucoup d’avenir et de potentialités. Nous avons besoin de partenariats, mais il faut que nous assumions d’abord nos responsabilités ». Des sujets qu’il a discutés avec le président de la République. En bonne place également, la coopération bilatérale. Les Comores bénéficient en effet de l’expertise camerounaise en matière de formation des cadres.

Dans son échange avec la presse sur le perron du Palais de l’Unité, c’est par le sport que le président de l’Union des Comores a conclu les échanges en disant une fois encore sa satisfaction d’avoir été présent à l’ouverture de la 33e Can : « Je suis fier pour le Cameroun et pour l’Afrique. Nous disons, aujourd’hui la Can, et pourquoi pas demain la Coupe du monde. C’est une possibilité ». Le président Azali Assoumani a été accueilli à sa descente de voiture, par le chef du protocole d’Etat, Simon Pierre Bikele, avant d’être salué sur le perron du Palais de l’Unité par le ministre, directeur du Cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, qui l’a en outre raccompagné à sa limousine à la fin de l’audience.

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Et c’est en spectateur averti, ayant assisté, aux premières loges à la magnifique parade et au début de la compétition dimanche dernier, que le chef de l’Etat comorien s’exprimait. Arrivé au Cameroun samedi dernier pour assister à l’ouverture d...

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