Concours d’entrée à la police : les commissaires ouvrent le bal

Plus de 5000 candidats ont affronté les épreuves écrites samedi dernier à Yaoundé.

Plus de 5000 candidats ont passé les épreuves écrites samedi dernier pour saisir les 42 places de commissaires à la police camerounaise. Au lycée Général Leclerc de Yaoundé, l’un des sous-centres d’examen retenu, l’ambiance est à la rigueur. Tous ceux qui franchissent le portail passent par le même rituel. Identification et fouille systématique grâce au portique de sécurité détecteur de métaux installé à l’entrée.

Dans les salles, les candidats sont concentrés sur la première épreuve du jour : la culture générale. Le secrétariat a, bien avant, dispatché les feuilles de composition. Jusqu’à 8h 30, début des épreuves, deux candidats traînent encore dans la cour à la recherche de leur salle de composition. D’autres encore ont oublié leurs cartes nationales d’identité. Heureusement, deux salles de contentieux ont été aménagées pour accueillir ces cas.

« Les candidats ont pourtant reçu des SMS leur indiquant le lieu et salle de composition ainsi que leurs numéros de table-banc et même la conduite à tenir pendant l’examen. Nous sommes surpris de voir certains candidats arriver sans carte nationale d’identité ou encore un récépissé prorogé », explique le commissaire divisionnaire, journaliste principal, Joyce Cécile Ndjem Mandeng, chef de la cellule de la communication et des relations publiques à la délégation générale à la Sûreté nationale.

Même ambiance au lycée de Ngoa-Ekellé. Ici, les candidats sont déjà devant l’épreuve de droit, il s’agit de la deuxième de la journée. Quatre salles ont également été aménagées pour accueillir les candidats en contentieux. Jusqu’à 13 h, aucun incident grave n’est relevé. À la sortie de la deuxième épreuve, les candidats sont confiants. « Je me suis suffisamment préparé pour passer ce concours....

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