Editions Sopecam : au cœur de la machine

L’entreprise a accueilli hier à son siège à Yaoundé, des visiteurs impatients de découvrir les coulisses de la confection des ouvrages et des différentes publications.

rotative KBA Comet. Ce bijou acquis par l’entreprise en 2015, est « capable d’imprimer toutes les pages du journal en quadrichromie », renseigne le directeur de l’exploitation à la Sopecam. Questions à l’appui, les jeunes visiteurs se montrent attentifs et pleins d’énergie. Cet entrain les habitera toujours durant les quatre dernières étapes de la visite. Notamment aux ateliers des presses offset, de façonnage, de reliure industrielle et de prépresse. « J’étais contente de voir mon cours se matérialiser devant mes yeux. C’était impressionnant de voir les livres passés de la plaque à l’état de livre véritable », se réjouit Flora, étudiante de première année de cette filière de l’Esstic à l’honneur. Une expérience professionnelle et rafraîchissante pour ces éditeurs camerounais en devenir. Les journées portes ouvertes des Editions Sopecam se poursuivent jusqu’à demain.
 

 

 

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Ces étudiants de première année, filière Edition à l’Ecole supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (Esstic), ne s’attendaient sans doute pas à tomber sur l’hôte de marque. Au terme de leur tournée dans les ateliers presses et prépresse abritant les « marmites » qui font bouillir les différents ouvrages et les publications édités par la Sopecam, les jeunes visiteurs ont croisé le chemin de Marie-Claire Nnana, directeur général. Ils ont puisé au passage de précieux conseils de l’aînée de marque, ce qui leur a permis de faire le point sur cette incursion de plus de deux heures dans l’intimité des imprimeries Sopecam sises à Yaoundé sur la route de l’aéroport. Cyrille Tekam Deugoue, directeur de l’exploitation à la direction de la production de l’entreprise, s’est recouvert de la cape de guide. 
Le groupe qu’il a sous sa responsabilité est en majorité constitué de ces étudiants de l’Esstic, emmenés par Christian Ndjoum-Nkel, enseignant au département des Editions et des arts graphiques de cette grande école de communication. « Nous les formons aux métiers de l’édition des livres et des journaux, et il était important que nous leur montrons comment la théorie est en adéquation avec l’évolution technique, car ce secteur des Editions évolue en effet de jour en jour », rappelle M. Ndjoum-Nkel. Mais ces étudiants de l’Esstic ne sont pas les seuls à être curieux et pressés de dévorer les secrets des Editions Sopecam. Dans ce groupe, des cadres d’entreprises et des responsables des cellules de communication de ministères sont là pour vivre en exclusivité, la naissance de ces numéros de Cameroon Tribune qu’ils consultent tous les matins. 
Le tour du propriétaire se fera en cinq étapes. Le premier arrêt est marqué à l’atelier des rotatives. Ici, le cours de « Techniques et procédés d’impression » de ces futurs éditeurs prend plus de sens. Ils découvrent, émerveillés, la nouvelle rotative KBA Comet. Ce bijou acquis par l’entreprise en 2015, est « capable d’imprimer toutes les pages du journal en quadrichromie », renseigne le directeur de l’exploitation à la Sopecam. Questions à l’appui, les jeunes visiteurs se montrent attentifs et pleins d’énergie. Cet entrain les habitera toujours durant les quatre dernières étapes de la visite. Notamment aux ateliers des presses offset, de façonnage, de reliure industrielle et de prépresse. « J’étais contente de voir mon cours se matérialiser devant mes yeux. C’était impressionnant de voir les livres passés de la plaque à l’état de livre véritable », se réjouit Flora, étudiante de première année de cette filière de l’Esstic à l’honneur. Une expérience professionnelle et rafraîchissante pour ces éditeurs camerounais en devenir. Les journées portes ouvertes des Editions Sopecam se poursuivent jusqu’à demain.
 

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rotative KBA Comet. Ce bijou acquis par l’entreprise en 2015, est « capable d’imprimer toutes les pages du journal en quadrichromie », renseigne le directeur de l’exploitation à la Sopecam. Questions à l’appui, les jeunes visiteurs se montrent attentifs et pleins d’énergie. Cet entrain les habitera toujours durant les quatre dernières étapes de la visite. Notamment aux ateliers des presses offset, de façonnage, de reliure industrielle et de prépresse. « J’étais contente de voir mon cours se matérialiser devant mes yeux. C’était impressionnant de voir les livres passés de la plaque à l’état de livre véritable », se réjouit Flora, étudiante de première année de cette filière de l’Esstic à l’honneur. Une expérience professionnelle et rafraîchissante pour ces éditeurs camerounais en devenir. Les journées portes ouvertes des Editions Sopecam se poursuivent jusqu’à demain.
 

 

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Ces étudiants de première année, filière Edition à l’Ecole supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (Esstic), ne s’attendaient sans doute pas à tomber sur l’hôte de marque. Au terme de leur tournée dans les ateliers presses et prépresse abritant les « marmites » qui font bouillir les différents ouv...

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