Démonstration à Douala

 Près de 10 000 personnes étaient au rendez-vous du mouvement pacifique organisé hier dimanche

 

«Think peace, dream peace, live in peace », « L’unité nationale est non négociable », « La sécession n’a pas de place dans notre héritage » « Non à la violence, oui à la décentralisation »... Autant de messages pour marquer la désapprobation d’une éventuelle division du Cameroun. A l’esplanade de la maison du parti de Bonanjo cet après-midi du dimanche 1er octobre 2017, environ 10 000 personnes issues de toutes les composantes de notre société étaient au rendez-vous de l’unité nationale.
Plusieurs temps forts ont marqué ce moment de communion entre les frères d’une même nation avec un héritage en commun, présidé par le ministre d’Etat, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Laurent Esso, par ailleurs chef de la délégation permanente régionale du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) pour le Littoral. Un moment rythmé par les différentes allocutions et la marche patriotique dans les artères de Bonanjo.
Premier orateur, le pasteur Ngaka de l’Union des Eglises baptistes du Cameroun (Uebc) a souligné que notre pays a besoin des hommes et des femmes capables de construire et non de détruire. Puis est venu le tour des « bayam-sellam » conduites par Aicha Magni qui a qualifié le chef de l’Etat de congélateur national. « C’est le président qui a fait vivre les petits commerçants comme nous. Nous ne voulons pas de désordre, nous sommes pour la paix », a-t-elle martelé. Les conducteurs d...

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