Riziculture: les sillons de la relance

Une mission interministérielle dépêchée auprès des riziculteurs afin de redynamiser ce secteur d’activité pour en faire un moteur de développement dans l’Extrême-Nord.

 

Selon Yaouba Abdoulaye, ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat) en charge de la planification, les besoins du Cameroun en riz sont de l’ordre de 300 000 tonnes par an. D’autre part, le Cameroun n’en produit qu’environ 100 000 tonnes chaque année, d’où de fortes importations estimées à 100 milliards de F annuellement. Pourtant, ce ne sont pas les terres cultivables qui manquent. Il y a quelques années, l’Etat avait déployé des efforts substantiels afin d’améliorer la production du riz au Cameroun. Dans la région de l’Extrême-Nord, la création de la SEMRY allait dans ce sens. Les investissements mis en place par l’Etat ont entraîné des débours de fonds en termes d’achat des  équipements. Au bout du compte, les résultats sont loin d’être à la hauteur des attentes.
C’est dans l’optique d’échanger avec les producteurs sur le terrain, et de chercher ensemble les issues pour relancer la r&e...

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