Le président kényan Uhuru Kenyatta a été investi mardi pour un second et dernier mandat.
C’est sous les vivats de plus 60.000 personnes rassemblées dans le stade national de Kasarani à Nairobi que Uhuru Kenyatta a prêté serment hier. A cette occasion il s’est engagé à reconcilier les Kenyans et à relever l’économie nationale.
Pour cette cérémonie d’investiture, 13 chefs d'Etat (principalement africains) ont fait le déplacement. Cette prestation de serment scelle la fin d’un feuilleton électoral marqué notamment par l'invalidation en justice de la présidentielle du 8 août, et le boycott par le principal candidat de l’opposition, Raila Odinga de la seconde élection organisée le 26 octobre.
Celle-ci a vu la victoire de Uhuru Kenyatta avec 98 % des voix, mais avec une faible participation des électeurs (39 %). Mais depuis que la Cour suprême du Kenya a confirmé la victoire du président Kenyatta, l'opposition ne cesse de la contester et a promis de poursuivre une campagne de « désobéissance civile ».
En tout état de cause, c’est dans un climat politique délétère que s’ouvre le nouveau mandat de Uhuru Kenyatta. Le pays fait face à de prof...
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