La surface de restauration

En ordre de bataille, divers acteurs de la cuisine camerounaise comptent bien épicer la CAN.

60 recettes culinaires environ. Voilà ce que le Littoral pourrait offrir aux personnes que la coupe d’Afrique des nations (CAN) de football féminin ferait passer par la région. Le chiffre est avancé par Pascal Teufak, fondateur de l’Institut supérieur du Tourisme, de l’Hôtellerie et des Arts culinaires, et initiateur du premier Forum national sur la Cuisine camerounaise, prévu en mai 2017 au Cameroun. Entre le ndolè, le poulet braisé, les multiples accommodements possibles du poisson, dont le fameux « mbongo tchobi », le non moins fameux beignets-haricot, les gourmets n’auront que l’embarras du choix.
« Tous les restaurants de qualité à Douala sont prêts » à servir ces mets, assure M. Teufak, pour qui l’accent doit maintenant être mis sur l’hygiène. « La CAN c’est l’affaire des hôteliers et des restaurateurs », poursuit l’homme, revendiquant une quarantaine d’années de pratique dans le secteur. « Vous imaginez ce que ça peut donner si des joueurs d’une équipe sont victimes d’intoxication alimentaire ? Il n’y aura pas de match ! », poursuit-il.
Bien entendu, Douala et le Littoral ne sont pas seuls à regorger de trésors de gastronomie. Le Centre, qui abrite Yaoundé, et le Sud-Ouest, où se trouve Limbe, ont leurs atouts, d&eacut...

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