Ndjib Bahoya, président du Conseil interprofessionnel des sociétés d’assainissement au Cameroun.
Quel est concrètement le contenu de la convention que vous venez de signer avec Activa?
Cette convention porte sur l'amélioration du climat des affaires dans le secteur de l'agriculture, à partir de la prévoyance sociétale des travailleurs dans le secteur agro-sylvo-pastoral, de la gestion des déchets et de l’assainissement de l’environnement. Plus précisément sur la prévoyance collective des travailleurs, la prévoyance santé 3e âge des travailleurs, et la prévoyance retraite complémentaire des travailleurs.
Pourquoi cela arrive-t-il en ce moment?
Cela arrive avec les accords de partenariat économique (Ape). Dès ce moment, les normes sociétales sont imposées pour toute transaction liée au commerce international surtout dans l’espace du marché européen. Pour répondre donc aux exigences des consommateurs de référence, il va sans dire que les travailleurs doivent être des producteurs de valeurs pour permettre à nos produits d’obtenir des certifications privées pour la compétitivité de nos produits agro-sylvo-pastoraux et des services connexes. C'est dans cette perspective que la convention a vu le jour entre Activa vie et le CISAC, organisation interprofessionnelle dans le secteur qui doit encadrer les parties prenantes pour aboutir à la certification CAMER-GAP (Cameroun Good Agricultural Practices). Il est donc important que notre économie soit tracée par des travailleurs certifiés et assurés aux bonnes pratiques agrosylvo- pas...
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