Violences dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest: ce que risquent les mis en cause
«Le gouvernement camerounais annonce à l’opinion nationale et internationale qu’un groupe de quarante-sept terroristes (…) se trouve (…) entre les mains de la justice camerounaise, devant laquelle ils répondront de leurs crimes ».
Ainsi s’exprimait lundi dernier, face à la presse nationale et internationale mobilisée pour la circonstance, le ministre de la Communication, Issa Tchiroma Bakary. Le terme « terroriste » déjà utilisé par le président de la République à sa descente d’avion le 30 novembre 2017 à l’aéroport international de Yaoundé-Nsimalen. Le président Paul Biya parlait relevait alors que « … le Cameroun est victime des attaques à répétition de bandes de terroristes se réclamant d’un mouvement sécessionniste… ».
Il convient dès lors de souligner que le Cameroun, dans le cadre de la lutte contre la secte terroriste Boko Haram, qui sévissait de manière répétitive dans la région de l’Extrême-Nord s’était doté d’un arsenal législatif en vue de faire face à ce type de si...
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