Chracerh: des patientes venues de Belgique et du Congo

 Le rayonnement de l’institution augmente. Quatre nouveaux bébés y sont nés hier.

La journée d’hier, mercredi 7 mars, a été exceptionnelle au Centre hospitalier de recherche et d’application en chirurgie endoscopique et reproduction humaine Paul et Chantal Biya (Chracerh).

L’établissement sanitaire a enregistré la naissance d’autres bébés, -quatre au total-, dont les grossesses ont été obtenues par fécondation in vitro.

En cette veille de célébration de la Journée internationale de la femme, l’on n’aurait pu rêver meilleur cadeau pour les nouvelles mamans. Leurs histoires, elles peuvent les raconter désormais sans verser de larme.

Dame B. D., 38 ans, naturalisée Belge de par son union avec un natif de ce pays européen, n’en revient pas toujours de tenir sa fille entre ses bras. Celle-ci a vu le jour à 10h30. « Ce qui nous arrive est inespéré. Ça faisait longtemps que nous essayions d’avoir un enfant sans succès. Nous avons suivi des soins médicaux dans tous les pays où nous avons vécu.

En Belgique, mon épouse a été opérée deux fois. Au terme de la deuxième chirurgie, les médecins ont déclaré qu’elle ne pourra jamais avoir d’enfant », se souvient sieur D. Pour le couple, le monde s’écroule alors.

L’épouse craignant d’être abandonnée à cause de cette « stérilité » vit stress et inquiétude, jusqu’à ce qu’un membre de la famille, au Cameroun, lui parle du Chracerh.

« Je ne sais pas pourquoi, mais nous avons immédiatement fait confiance au Pr. Kasia. Et, nous avons eu des résultats au premier essai », assure le père, rose d’émotion à la vue de son bébé.

Dame O., 48 ans, elle, vient de Pointe Noire, au Congo où elle vit avec son époux. Cela faisait douze ans que l...

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