Autonomisation: ces actes qui comptent

 A travers plusieurs outils institutionnels, le gouvernement apporte l’encadrement nécessaire en vue de l’émergence économique de la femme.

La femme camerounaise, surtout celle engagée dans le domaine entrepreneurial, bénéficie d’un encadrement institutionnel consistant. En effet, on peut identifier comme outil d’appui, le Programme d’appui à la promotion de l’entreprenariat féminin (PAPEF).

Il est doté de sept milliards de F et œuvre au financement  des projets économiques des femmes, avec un aspect lié à l’accompagnement des promotrices et de la formation des formateurs. L’idée maîtresse est d’apporter l’appui nécessaire aux femmes porteuses de projets, afin de faciliter leur décollage.

Un fonds de départ, qui permet de contribuer à l’autonomisation financière de la femme. Dans le même domaine, plusieurs autres organismes contribuent aussi aux efforts du gouvernement, pour accélérer les progrès vers l’égalité de genre et l’autonomisation des femmes. Un accent étant mis sur les plus vulnérables dans un contexte de « féminisation de la pauvreté ».

C’est par exemple le programme exécuté par ONU-Femmes, grâce à une convention signée avec le gouvernement. Ce programme a consisté à appuyer les activités spécifiques et entrepreneuriales des femmes, ou alors à accélérer l’autonomisation économique des femmes.

Des actions et initiatives sont adossées sur une vision. En effet, depuis trois années déjà, le gouvernement, à travers le ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille, a conçu et validé un document national d’orientation et de référence en matière de promotion de l’égalité du genre.

Ce document permet de mettre la gent féminine au cœur des politiques de développement. C’est qu’au regard du faible pouvoir économique des femmes, l’Etat s’est engagé, a pris des mesures fortes pour r...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie