
Il est question pour le gouvernement de définir un modèle de régulation dans l’écosystème du transfert électronique.
Que gagne le Cameroun en s’arrimant à l’interopérabilité des services financiers? Enormément, répondent les experts présents à l’atelier d’échanges sur l’interopérabilité des services financiers mobiles qui s’est tenu hier au ministère des Postes et Télécommunications (Minpostel) à Yaoundé.
Par ce canal, apprend-on, il est question de favoriser le développement de l’économie numérique et l’inclusion financière. Concrètement, il s’agit de mettre en place un modèle de régulation dans la chaîne du transfert électronique et de l’interopérabilité entre les différents acteurs.
«L’interopérabilité donne l’opportunité de faire des paiements et de recevoir de l’argent de partout, de toutes les banques, de tous les pays. Il y aura désormais intégration entre tous les systèmes de paiements électronique non bancaires interconnectés avec le système bancaire commercial», précise d’entrée de jeu Mfuh W. Kendji, conseiller technique au Minpostel.
Et ce n’est pas fini. Ce système va également réduire les vols, étant donné que l’argent ne circulera plus à flot dans le système. Sans parler du blanchissement. C’est donc tous ces problèmes que va résoudre l’interopérabilité des services financiers. Mais nous n’en sommes pas encore là.
L’on est encore à la phase des discussions. Question de donner une architecture au projet. C’est ce à quoi se sont attelés hier les responsables de l’entreprise Interswitch chargée de mett...
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