Un signal encourageant

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La libération, avant-hier, des filles enlevées dans la localité nigériane de Dapchi vaut ce pesant d’or. On se souvient que le président nigérian, Muhammadu Buhari, avait qualifié cet enlèvement de « désastre national » et avait assuré faire tout ce qui est en son pouvoir pour libérer les écolières notamment à travers des négociations.

Certes, 4 des 110 filles ont remises en liberté. 9 manquent à l’appel parmi lesquelles les 5 écolières probablement décédées dans les camions les transportant vers le lieu de détention lors de la prise d’otages survenue le 19 février denier. Pour autant, la libération de la majorité des anciens otages de Boko-Harem mérite d’être saluée. D’autant qu’elle éloigne le Nigeria d’une autre tragédie à la suite de l’enlèvement des  200 lycéennes de Chibok, en avril 2014, par le même groupe terroriste Boko-Haram.

L’enlèvement des lycéennes avait ému le monde entier. De nombreuses mesures avaient été prises pour exiger leur libération notamment l’initiative « Bring back our girls » (Ramenez-nous nos filles) de l’ancienne première dame des Etats-Unis d’Amérique, Michelle Obama . Depuis lors, environ 100 filles de Chibok ont pu échapper aux mailles des ravisseurs à la suite de leurs propres initiatives ou alors au terme...

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