Des responsables africains de l’enseignement supérieur, réunis depuis lundi à Yaoundé pour réviser les aptitudes pédagogiques et améliorer les enseignements.
Dans les universités africaines, bon nombre d’étudiants ayant obtenu leurs diplômes peinent à trouver un emploi. Parce que leurs parchemins ne sont pas reconnus sur le plan international. C’est pourquoi la majorité des universités africaines misent sur la professionnalisation qui passe par l’obtention de diplômes débouchant sur le marché de l’emploi.
Pour relever ce défi, les cadres universitaires africains réunis au sein de l’Association des universités africaines (AUA) sont à Yaoundé depuis lundi dernier avec pour objectif de produire des diplômés internationalement reconnus. Deux ateliers de formation constituent le menu des travaux organisés par cette institution en collaboration avec l’Université de Yaoundé II-Soa.
Ils sont présidés par le Pr. Adolphe Minkoa She, recteur de ladite université. En ce qui concerne ces sessions de formation, la crème universitaire de l’Afrique planche entre autres sur la revitalisation des systèmes, les outils de processus et procédures d’assurance qualité de l’enseignement supérieur au 21e siècle et les aptitudes innovantes axées sur les apprenants.
Il s’agit de répondre au déficit de compétences en matière de qualité des enseignements observé au sein des personnels des institutions universitaires africaines. « Nous devons avoir la préoccupation de nous interroger sur la pertinence de ce que nous faisons, sur les m...
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