Bulletin
Le sommet des forces terrestres africaines qui se tient du 16 au 19 avril à Abuja, la capitale fédérale nigériane, vient à point nommé. En effet, malgré les importants moyens débloqués pour le combattre, le terrorisme n’a pas fondamentalement reculé sur l’ensemble du continent .
Qu’il s’agisse de l’Afrique du Nord, de l’Afrique australe, de l’Afrique centrale ou de l’Afrique de l’Ouest, des réseaux terroristes ou des cellules dormantes sont régulièrement signalés.
Parmi ces groupes terroristes, les plus redoutables sont certainement Boko-Haram dans la région du Lac Tchad, Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI) dans la région du Maghreb, le Mouvement pour l’unicité du jihad en Afrique de l’Ouest(MUJAO) ainsi que les Shebab dans la corne de l’Afrique.
Face aux menaces terroristes, les Etats africains ont organisé la riposte. Celle-ci a parfois pris la forme des forces militaires conjointes notamment la Force conjointe G5 Sahel ou la Force mixte multinationale qui opère dans la zone autour du Lac Tchad.
Ces initiatives ont beau être appréciables, elles ne peuvent cependant pas demeurer toujours efficaces sans le renforcement de la coopération militaire entre les différentes armées africaines. D’où l’opportunité de la rencontre d’Abuja.
L’occasion est ainsi donnée aux chefs militaires de renforcer le...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires