Haut Nyong: Joseph LE poursuit sa tournée

Pour la deuxième étape de son périple dans ce département, le Minfopra a rencontré les communautés de Somalomo, Messamena, Dimako, Doumé et Atok le week-end dernier.

C’est avec des pas de danse et chants que les populations en liesse, massées le long des itinéraires, ont accueilli le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra), Joseph LE.

Cette ambiance était celle du week-end dernier dans le département du Haut- Nyong. Pour les communautés rencontrées à Somalomo, Messamena, Dimako, Doumé et Atok, la fonction de ministre a cessé d’être un mythe. La preuve, elles ont causé avec leur hôte à coeur ouvert.

Sur les visages des uns et des autres, ont pouvait lire l’émotion et la satisfaction suscitées par cette visite du Minfopra. « Nous apprécions l’esprit d’humilité et de solidarité de notre fils Joseph LE. Il est venu se présenter à nous malgré ses hautes fonctions afin de prendre connaissance de nos difficultés. Nous sommes rassurés de ce qu’il pourra nous apporter son aide à la limite de ses possibilités.

Nous lui sommes infiniment reconnaissants pour avoir bravé le mauvais état de la route et les intempéries pour venir à notre rencontre », se réjouit Gérald Moamosse à Somalomo. Même les chefs traditionnels ne sont pas restés insensibles. Une démarche qualifiée d’originale par Martine Nanga et Joël Amama, habitants de Messamena et Dimako.

Puisque ces échanges visent à toucher du doigt les difficiles conditions de vie des populations et à recueillir leurs doléances dans la perspective du développement économique et social de ce département, le Minfopra a tenu un langage franc et sincère. « Il y a beaucoup de possibilités que le gouvernement offre et ici, il suffit de les exploiter. Je sais que vos besoins sont énormes, mais ils ne me font pas peur. Je n’ai certes pas de baguette magique mais je ferai de mon mieux pour vous venir en aide avec le concours des autres collègues du gouvernement.

Soyez patients », a demandé Joseph LE. A Dimako, ville de naissance de la première dame du Cameroun Chantal Biya, les populations ont salué cette proximité qui est le déclic d’un nouveau type de relations avec la base.

« Ces concertations traduisent les bonnes relations et la collaboration qui existent entre l’Etat et la population. C’est une bonne façon pour nous de maintenir les liens de famille. Cette édu...

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