Depuis le 31 mai dernier, 20 joueuses ont été convoquées dans le cadre du premier regroupement de l’équipe nationale féminine.
Dès l’entrée du Complexe de la Concorde de l’Université de Yaoundé I ce mardi après-midi, la voix de Jean-Marie Zambo fait écho. Dans son style caractéristique alliant fermeté et dérision, l’entraîneur national de la sélection féminine de handball recadre ses joueuses.
Notamment celles participant à l’atelier de phase offensive en quatre (attaquantes) contre deux (défenseures) puis en quatre contre quatre. Mettre du rythme dans les attaques dénuées de toute tentative de dribbles et faire preuve de mobilité sont exigées aux joueuses.
Face à des attaques brouillonnes ou à des défenses molles, le coach passe à la sanction à travers quelques pompes pour l’auteur du délit.
De l’autre côté du terrain, deux gardiennes de but sont à la manœuvre. Il est surtout question de travailler leur réactivité. Celle-ci est testée dans un premier temps à travers des jets de petites cartes à saisir à la suite d’une roue latérale.
Touchée au genou, Anne Florette Mbouchou Mandop fait partie des deux joueuses blessées du groupe. Trois joueuses n’ont pas pu être libérées par leurs emplo...
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