Infrastructures: les transports en bonne place

Au cours des sept dernières années, le Cameroun, sous l’impulsion du président Paul Biya, a poursuivi sa marche vers l’émergence, à travers la réalisation de grandes infrastructures de communication.

En baptisant le mandat qui s’achève dans quelques semaines « Septennat des Grandes Réalisations », le président de la République, Paul Biya, avait notamment à coeur d’imprimer une nouvelle dynamique à l’économie nationale et de mettre résolument le Cameroun sur les rails de l’émergence.

Conscient du rôle que jouent les infrastructures de communication dans la facilitation du transport des personnes et de biens ainsi que dans la réduction des coûts de production, le chef de l’Etat n’a ménagé aucun effort pour doter le triangle national d’autoroutes, de routes, de ponts, d’aéroports et de ports dignes de la réputation du Cameroun tant au niveau sous-régional que régional.

C’est ainsi que, mettant en oeuvre l’engagement qu’il avait pris le 15 septembre 2011 à Yaoundé, dans son discours d’ouverture et de politique générale du 3e congrès ordinaire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais, le président Paul Biya a transformé dès janvier 2012, le Cameroun en un immense chantier.

Avec, dans le secteur des transports, des projets structurants comme le port en eau profonde de Kribi, l’autoroute Yaoundé-Douala, le deuxième pont sur le Wouri. Certains projets de développement ont évolué normalement tandis que d’autres ont subi les aléas auxquels le Cameroun a été confronté pendant le septennat en cours. C’est le cas de la route Mora-Dabanga-Kousseri (205km).

Ce tronçon du corridor reliant le port de Douala à N’Djamena, d’un coût global de plus de 669 milliards de francs, cofinancé par la Banque mondiale et le gouvernement camerounais, a été attaqué par les terroristes de Boko Haram qui ont enlevé des employés chinois heureusement libérés peu après sains et saufs.

Il a fallu confier le chantier au Génie militaire pour que les travaux reprennent. Autre fait ayant été à l’origine du ralentissement de certains chantiers : la crise économique. Comme les autres pays producteurs de matières premières, notamment le pétrole brut, le Cameroun a fait face à ladite crise en raison de la baisse des prix de ses produits. Fort heureusement, l’économie camerounaise a fait preuve de résilience en raison de sa diversification.

Au moment où s’achève le « Septennat des Grandes R&eacut...

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