« Les parents autorisés à payer en tranches »

Léopold Djomnang Tchatchouang, chef de Division des affaires juridiques au ministère des Enseignements secondaires.

Des parents d’élèves issus des zones reculées se plaignent de l’inexistence des opérateurs de téléphonie mobile et de transfert d’argent dans leurs coins. Quelles sont les mesures qui ont été prises pour résorber ce problème ?

De nombreuses mesures ont été prises avec ces opérateurs de transfert d’argent. D’une part, la dématérialisation même des inscriptions. En effet, un parent peut rester dans sa chambre à Guidiguis, à Guider ou à Moloundou. Il lui suffit simplement d’un réseau téléphonique pour payer l’inscription et les frais d’examens de son enfant. D’autre part, lorsque ce n’est pas possible, c’est-à-dire quand vous n’avez personne en ville, il y a des opérateurs de transfert d’argent implémentés dans les zones les plus reculées. A l’instar de la poste. De plus, il y a un autre opérateur qui s’est engagé à aller vers ces parents et ceuxci peuvent payer partout où se trouvent lesdits opérateurs. Ces derniers se sont engagés même en cas d’absence de connexion Internet et de réseau de téléphonie de se rapprocher de ces établissements scolaires reculés et de leur donner toutes les informations concern&ea...

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