S.E. Paul BIYA, le choix du réalisme et de la raison

Les Saintes Ecritures nous enseignent qu’un aveugle ne peut guider un autre aveugle. Ce qui veut dire que tout être humain a besoin d’être mieux guidé pour bâtir sa propre vie. Le cycle normal de la vie commence par la naissance. Les exigences de la société  moderne nous amènent vers l’éducation : la maternelle, le primaire, le secondaire et le supérieur. Puis chacun commence à nourrir des ambitions pour sa propre vie et, peut-être, pour celle de sa collectivité : se marier et fonder une famille, chercher du travail, se doter d’un abri, etc. A toutes ces étapes, l’homme a besoin d’être guidé pour rester sur le bon chemin. Jésus-Christ dans la prière qu’il nous a enseignée dit : « Ne nous soumets pas à la tentation mais délivre nous du mal ».  J’insiste sur le fait que l’homme sans guide est comme une voiture sans chauffeur ; une voiture sans chauffeur finit inévitablement dans le ravin. 
Pour bâtir une bonne carrière professionnelle, l’homme doit être guidé par ses collègues, plus anciens au sein de l’entreprise ou de l’administration. Pour réussir à l’école, quel que soit le niveau des études, un élève ou un étudiant a besoin d’être encadré. Ceux qui ont fabriqué les avions ou les bateaux ont été davantage inspirés. Ils ont pensé qu’un bateau ou un avion avait besoin d’un guide, un bon guide, un guide expérimenté. Il a pour nom, le commandant de bord. La réflexion a été poussée plus loin. On ne peut avoir qu’un seul commandant de bord. Le bon commandant tient le gouvernail, assure la sécurité et la protection de tous.
Les Saintes Ecritures nous enseignent encore qu’il y aura beaucoup d’appelés mais peu d’élus. Chacun de nous, regardant le travail de l’autre, pense souvent qu’il est facile. Mais une fois à l’épreuve, il découvre le contraire. Comme quoi, la critique est aisée mais l’art difficile. Chaque personne suit son destin sur cette terre. Ce destin est une mission. Il y a des hommes nés pour guider les autres et il y en a qui doivent être guidés.
Saint Paul dans Romains 13 a bien clarifié le rôle du guide dans la société  « Que toute personne soit soumise à l’autorité car tout pouvoir vient de Dieu et celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi ».  Lorsqu’on résiste à l’autorité, on s’attire des ennuis, des condamnations. Saint Paul termine en disant qu’il faut être soumis non par crainte de punition mais par motif de conscience. Assez édifiant n’est-ce pas ? L’autorité choisie par Dieu est donc le guide de tout un pays, de toute une nation. 
Le 6 novembre 2016, les militants et sympathisants du RDPC ainsi que  les Camerounais de bonne volonté ont célébré dans le recueillement mais avec faste et ferveur, le 34ème anniversaire de l’accession à la magistrature suprême de S.E Paul BIYA. C’est un grand jour pour le peuple camerounais et pour le Cameroun. Les 34 ans de magistère de S.E Paul BIYA nous offrent l’opportunité de faire le bilan du chemin parcouru et de scruter les défis futurs. Dès le 6 novembre 1982, le Président Paul BIYA a bâti le Renouveau sous le binôme « Rigueur et Moralisation». Plus que jamais, ces valeurs républicaines sont d’actualité.

Le Chef de l’Etat veut voir les choses bouger

Depuis le 6 novembre 1982, les fondamentaux d’un système politique fiable, d’une politique économique conquérante et d’une politique sociale humaine, sont en place. Le Président Paul BIYA, dès 1982, a opté pour la rupture avec le passé, en instaurant une démocratisation progressive du paysage politique nationale. « Il n’y a pas de développement sans sécurité, il n’y a pas de démocratie sans garantie des libertés élémentaires », disait le Chef de l’Etat en 1985.
Héritant d’un pouvoir monolithique, le Chef de l’Etat devait opérer des mutations politiques, économiques et sociales dans un environnement hostile au changement. La règle était celle du parti unique et de la pensée unique. Rien d’autre.  Le Chef de l’Etat, en grand visionnaire, opta pour un changement graduel, y compris au sein du parti unique de l’époque,  l’Union Nationale Camerounaise. Pour garder le cap qu’il s’était fixé, des ministres technocrates furent nommés. Des grands chantiers furent lancées dès 1983 : l’axe-lourd Douala – Yaoundé ; la route Yaoundé – Bafia - Bafoussam – Bamenda. Le chantier d’une télévision nationale en couleur fut lancé et dès 1985, les Camerounais avaient pu regarder avec fierté les premières images de la Cameroon Television  pendant le congrès du RDPC de Bamenda. Avant le soi-disant « vent de l’Est », le Président Paul BIYA décida d’introduire la pluralité  des candidatures à toutes les échéances politiques au sein de l’UNC, devenue depuis le 24 mars 1985, le « Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais ». 
S.E. Paul BIYA ne tourne pas en rond, c’est un homme d’Etat qui veut voir les choses bouger. Le Chef de l’Etat veut des résultats. Il se soucie du bien-être de ses compatriotes. C’est un homme d’action. Le bien-être des Camerounais de tous bords demeure sa préoccupation essentielle. Le Chef de l’Etat n’est l’otage de personne. Il a souvent avec courage su recadrer les comportements au sein de sa propre formation politique, le RDPC. En 1990, S.E. Paul BIYA décida d’abroger toutes les lois d’exception en vigueur depuis 1962, instituant le multipartisme et la liberté d’expression, dont usent et abusent certains Camerounais aujourd’hui.
Le Chef de l’Etat ne cède pas au chantage encore moins à la pression. Il est toujours à la recherche du bon équilibre et du juste milieu dans l’intérêt de notre pays. Grâce à son tact hors norme, le Chef de l’Etat a su conduire toutes les mutations politiques et économiques au Cameroun avec moins de dégâts  possibles. Grâce à la haute vision du Chef de l’Etat, le Cameroun a réussi sa transition du parti unique au multipartisme sans casse. On se rappellera encore longtemps ces  déclarations historiques : « La conférence nationale est sans objet » ; « La légitimité du peuple ne peut s’exprimer qu’à travers des élections libres et transparentes » ; « Les choses vont changer. Croyez-moi, les choses vont changer ». Aujourd’hui les choses sont en train de bouger. Les choses bougent véritablement dans le bon sens.
Depuis cinq ans, le Président Paul BIYA a lancé de gros chantiers exécutés à ce jour à plus de 95%. Les barrages hydro-électriques de Lom Pangar, de Memve’ele et le port en eau profonde de Kribi, l’autoroute Yaoundé – Douala, l’autoroute Yaoundé-Nsimalen, l’immeuble siège de la Caisse Autonome d’Amortissement, pour ne citer que ceux-là.
Dans moins de 14 jours, la  Coupe d’Afrique des Nations de football féminin débutera au Cameroun sur des stades qui n’ont rien à envier à certaines enceintes du genre  dans les grands pays. 
En 2019, le Cameroun organisera la Coupe d’Afrique des Nations de football masculin avec deux nouveaux stades de dimension mondiale : le Stade d’Olembe à Yaoundé et le Stade de Japoma à Douala. C’est la preuve que sous le Renouveau, le Cameroun bouge ; avec le Président Paul BIYA, le Cameroun bougera. 
Pour relayer les grandes ambitions du Chef de l’Etat, la presse jouit d’une liberté à nulle autre pareille. Même si on peut déplorer le mauvais usage de cette liberté d’expression, il est évident que la presse camerounaise est libre. Elle est véritablement libre.  Reporters Sans Frontières devrait logiquement attribuer la palme d’or au Cameroun. Jamais les dirigeants d’un pays n’auront été  aussi insultés et vilipendés impunément par la presse comme au Cameroun.  On  trouvera difficilement...

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