La thérapie technologique

L’apparition de la VAR est la deuxième réponse technologique apportée par la FIFA pour un football juste et honnêt

Lors de la coupe du monde 1998, on se souvient du troisième match du Cameroun dans le groupe B face au Chili. Une rencontre qui s’est achevée sur le score d’un but partout mais qui avait défrayé la chronique du fait de l’arbitrage du Hongrois Laszlo Vagner. Pour des positions de hors-jeu (polémiques), l’homme en noir va refuser deux buts inscrits par François Omam Biyik. De pareilles situations d’injustice sont légion dans le football au même titre que des fautes non sanctionnées dans la surface de réparation, des pénaltys évidents non sifflés ou encore des situations offensives ayant bénéficié d’un coup de pouce manuel. Pour éviter d’autres mains de « Dieu », la Fédération internationale de football association (FIFA) a exploré diverses voies. Des pistes conduisant toutes à la nécessité d’une contribution extérieure à l’arbitrage. Malgré les échos dissonants portant sur
les craintes d’altération de l’essence du jeu (incluant les erreurs humaines liées à l’arbitrage) portés notamment par Michel Platini qui a tout fait pour ralentir son usage durant son passage à l’UEFA, la FIFA va prendre l’option technologique à travers la vidéo. Ainsi pour lutter contre le phénomène des buts fantômes, la FIFA à travers l’International Football Board Association va approuver en 2012 la Goal Line Technologie (la technologie sur la ligne de but). Le procédé permet de vérifier s...

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