Var : à l’épreuve du terrain

Malgré les contestations toujours nombreuses, son usage entre dans les habitudes du monde footballistique.

L’entrée en scène de cette technologie devait résoudre tous les problèmes qui se posent fréquemment au cours d’un match de football. A l’épreuve des faits, les critiques sont encore plus nombreuses. Un peu comme si, son introduction n’a fait qu’aggraver les choses. Les plus récentes contestations se sont déroulées lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations en Egypte, avec des arbitres revenus sur leurs décisions après visionnage de la VAR. Avant cela, il y a eu une situation invraisemblable, avec la VAR qui ne marchait pas en Tunisie lors de la finale retour de la Ligue africaine des champions et qui avait été à l’origine de l’interruption de la rencontre pendant un bon moment, puis de son arrêt définitif, les Marocains du Wydad de Casablanca ayant refusé de continuer le match. Il y a également eu des contestations lors de la Coupe du monde de football féminine en France. On se souvient encore du but non validé de Nchout Njoya Ajara lors des huitièmes de finale contre l’Angleterre.

Au départ, il est question que la VAR intervienne dans quatre situations : un but (validé ou non), un penalty (sifflé ou non), un carton rouge direct (infligé ou non) et pour vérifier l’identité d’un joueur sanctionné. Depuis quelque temps, on a l’impression qu’elle est sollicitée à tout moment. Un peu comme un caprice. Parmi les conséquences de son application, il y a désormais des temps additionnels de sept voire 10 minutes. En outre, à chaque fois que le central va consulter la vidéo, le jeu...

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