Activités agricoles et agroalimentaires : La micro-finance appelée à « semer »

Les capacités des personnels des établissements renforcées pour réduire leur aversion pour le financement de l’agroalimentaire.

L’Agence de promotion des petites et moyennes entreprises (APME) a organisé du 23 au 25 octobre dernier à Douala, un séminaire atelier de renforcement des capacités des ressources humaines des établissements de microfinance (EMF) à l’effet de réduire leur aversion au financement des activités agricoles et agroalimentaires dans le bassin du Littoral. Au menu, la présentation des risques pesant sur la bonne analyse des dossiers de financement des Pme agricoles et agroalimentaires (PMEA) en général, et dans le Littoral en particulier, par les ressources humaines des EMF, les risques et les mesures de mitigation de ces risques pour la réalisation d’une analyse de dossier de financement des PMEA.

Pour le directeur général de l’APME, Jean-Marie Louis Bagda, qui a ouvert les travaux, il s’agissait tout au long de ce séminaire atelier, « de renforcer les capacités des ressources humaines des EMF dans l’analyse des dossiers de prêt des PMEA portant sur les activités de transformation des produits dérivés du café et du poivre, de la banane plantain, du manioc, de la mangue, de l’ananas et de la papaye, de l’élevage à cycle court (porc, volaille) et du poisson ». Et dans cette optique, sont également concernés, les stockeurs de produits issus des filières retenues, leurs équipementiers et maintenanciers, les commerçants des produits finis, les fournisseurs de matières premières, d’intrants, etc. L’objectif à terme, c’est de se mettre ensemble, pour construire dans une démarche participative, des pistes pou...

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