Eau et énergie: l’amélioration de l’offre va se poursuivre

? Les 205,269 milliards de F seront consacrés à la réalisation de quatre programmes pour l’année budgétaire 2017.

Pendant près de 3 heures, Basile Atangana Kouna, ministre de l’Eau et de l’Energie a présenté et défendu le projet de budget alloué à son département ministériel pour l’exercice budgétaire 2017. C’était en début de matinée dimanche dernier. On retient que l’enveloppe est évaluée à 205, 269 milliards de F dont 200 milliards consacrés à l’investissement et un peu plus de 5 milliards de F destinés au fonctionnement. Elle est en baisse par rapport à celle de l’année dernière qui était de 214,166 milliards de F soit un peu plus de 9 milliards de F en moins. Ce budget va notamment permettre la réalisation de quatre programmes : l’offre d’énergie, l’accès à l’énergie, l’accès à l’eau potable et à l’assainissement liquide et enfin la gouvernance et appui institutionnel dans le sous-secteur eau et énergie.
Les actions à mener pour ces quatre programmes sont entre autres le renforcement des activités du sous-secteur eau et énergie dont l’objectif est de poursuivre la réalisation de projets d’infrastructures. Autres axes prioritaires, la poursuite des mesures de sécurisation de l’approvisionnement du pays en énergie électrique à court, à moyen, et à long terme. La poursuite des travaux de construction du barrage de Lom Pangar ainsi que des aménagements hydroélectriques de Memve’ele et de Mekin. Très important aussi la réalisation des projets dits de deuxième génération, notamment le Bini à Warak et celui de Nachtigal.  Egalement prévu la poursuite des projets d’électrification du territoire national ainsi le suivi des projets d’accrois...

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