Cap industriel : les nouvelles épreuves écrites ont démarré

Ils sont plus de 29 000 candidats à affronter depuis hier cet examen officiel sur toute l’étendue du territoire national.

10h au sous-centre du Cetic de Ngoa-Ekelle, précisément au site d’emprunt de l’école publique départementale. La première épreuve vient tout juste de s’achever. Pour les candidats au Cap industriel section francophone, la première journée a débuté avec l’Etude de texte. L’extrait auquel une série de questions est adossé, est tiré du livre « Ville cruelle » de l’auteur Eza Boto, au chapitre 12. Une heure et 30 minute après, Ngondi Fouda en a terminé. Son impression lui est soutirée de son retour des toilettes, où il est allé se soulager. Pour ce candidat, l’épreuve était passable malgré quelques questions auxquelles il n’a pas pu répondre. Il espère se rattraper sur l’épreuve de Mathématiques qui va suivre. Sa matière préférée.
Sentiment contraire chez Shella Nkwega Chimi, candidate à ce même examen de la série Bespoke Tailoring (Industrie d’habillement), section anglophone. Elle vient de composer l’épreuve de English Language. « J’ai très bien composé. J’étais stressée au départ car je pensais que l’épreuve allait être difficile. A ma grande surprise, c’est tout ce que nous avons fait à l’école qui est venu. J’ai la conviction que j’aurai mon examen car j’ai bien démarré et c’est un point déterminant pour moi », confie la jeune fille avec assurance. 
Dans le sous-centre d’examen, tout se passe pour le mieux. Jean Marie Abe Kofane, chargé de mission, sillonne les 20 salles d’examens. Il s’assure que les deux surveillants par salle sont à leur poste, que les candidats portent bien leurs masques et qu’ils sont assis en zigzag. Pour l’instant, assure-t-il, aucun incident n’est enregistr&eacu...

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