Zones humides : plaidoyer pour une protection durable

Le ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature et du Développement durable a présidé hier, à Yaoundé, la commémoration de la journée mondiale consacrée à ces espaces.

La plaine d’inondation de Waza-Logone, le lac Barombi Mbo, la partie camerounaise du fleuve Sangha, la partie camerounaise du Lac Tchad, la partie camerounaise du fleuve Ntem, l’estuaire du Rio del Rey et la zone humide d’Ebogo. Telles sont les sept zones humides camerounaises reconnues comme sites Ramsar, c’est-à-dire zones humides d’importance internationale. Hélé Pierre, ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature et du Développement durable (Minepded) en compagnie de son homologue Jules Doret Ndongo, des Forêts et de la Faune (Minfof), a présidé hier à Yaoundé, la commémoration de la journée mondiale des zones humides. 
Le ministre Hélé Pierre a rappelé les motifs qui ont milité en faveur de l’adhésion du Cameroun en 2006 à la convention de Ramsar. Entre autres avantages, l’accès aux outils et mécanismes de sauvegarde des ressources vitales des zones humides, à l’expertise et aux opportunités de formation ; ils bénéficient aussi des actions de solidarité et de coopération régionales. « Les zones humides jouent différents rôles importants pour la vie. Le fait de savoir que l’eau est au centre des zones humides, signifie qu’elles sont très importantes et nous avons intérêt à les connaitre et à les protéger », a déclaré le Minepdep. Les zones humides sont également pourvoyeuses de ressources en eau pour le bétail, l’irrigation des cultures, l’hydroélectricité pour la lumière et l&rsq...

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