Contrôle de l’action gouvernementale : le plaidoyer des parlementaires

Hier, à l’occasion de la sixième assemblée générale annuelle du Réseau continental dédié à l’évaluation du développement, les élus derniers ont souhaité bénéficier d’un renforcement de capacités.

Sénateurs et députés d’Afrique, réunis au sein du Réseau des parlementaires africains pour l’évaluation du développement (APNODE), ont tenu la sixième assemblée générale annuelle de leur association hier, 26 août, par visioconférence. Les travaux, dirigés par le vice–président du Réseau, l’honorable Abbas Imbassou Ouattara de Côte d’Ivoire avaient pour thème : « Renforcement du contrôle parlementaire et de la capacité d’action pendant le Covid-19, enseignements tirés de l’Afrique ». Les débats, étaient menés par le secrétariat général de l’association basé au siège de la Banque africaine de développement à Abidjan, en Côte d’Ivoire.  Une quinzaine de pays africains étaient présents à ces travaux aux côtés du Cameroun que représentaient les honorables Elise Pokossy Ndoumbe et Njigum Musa, députés à l’Assemblée nationale.
Deux articulations majeures ont ponctué les discussions d’hier. D’abord, le plaidoyer pour le renforcement des capacités des parlementaires en matière de contrôle de l’action du gouvernement, et enfin, la présentation des actions menées par les différents gouvernements africains pour combattre le coronavirus. Ainsi, conscients de leurs missions, les parlementaires africains, participants auxdites assises, ont plaidé pour que le contrôle de l’action gouvernementale soit un véritable outil de travail. A cet effet, ils ont souhaité voir leurs capacités en la matière renforcées, surtout en cette période marquée par le Covid-19. Car, à ca...

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