Gestion des crises humanitaires en Afrique : les pistes de collaboration

Le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo, a présidé hier, la cérémonie d’ouverture d’un colloque international organisé autour de cette problématique.

« Crises humanitaires ». L’expression est à la mode ces dernières années, du fait de la multiplication des poches d’instabilité, en Afrique notamment. L’état de la collaboration entre les différents acteurs, dans le cadre d’une riposte appropriée face à ce défi, est au centre d’un colloque international au Palais des congrès de Yaoundé. Les travaux ont été ouverts hier, 7 octobre, au cours d’une cérémonie présidée par le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo, par ailleurs président du Conseil d’administration de l’Ecole internationale des forces de sécurité (Eiforces). La réflexion tourne autour du thème : « L’interaction entre les acteurs impliqués dans la gestion des crises humanitaires en Afrique : complémentarité ou rivalité ? ». 
Les premières interventions, dont celles du directeur général de l’Eiforces, le général de brigade André Patrice Bitote, se sont appesanties sur l’importance de la problématique à la une. « Les questions humanitaires sont devenues des sujets particulièrement préoccupants, du fait des conséquences dramatiques qui sont observées dans la vie des personnes qui se trouvent dans cette situation. Nous avons pensé, au regard de ce que nous voyons dans notre pays et dans d’autres parties du continent, que la problématique de l’humanitaire préoccupe les gouvernants au plus haut point », explique le commissaire divisionnaire Elie Passo Sonbang, chef du Centre de recherche et de documentation de l’Eiforces.
La résurgence des crises humanitaires, observent les experts, a vu émerger de nouveaux acteurs dabsce champ autrefois réservé eaux Etats. Seulement, si ce ...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie