Concours de la police : au tour des élèves-officiers

Il y a du monde aux portes de la police nationale. 14 505 candidats ont passé le concours national organisé samedi dernier au centre unique de Yaoundé par la Délégation générale à la Sûreté nationale (Dgsn). En jeu, 150 places pour devenir élèves-officiers au sein de la police. Samedi, dès 7h, les candidats ont rejoint les salles d’examen réparties dans neuf sous-centres d’examen à Yaoundé. Il s’agit du Lycée bilingue d’Essos, du Lycée de la Cité-verte, du Lycée d’Elig-Essono, du Lycée général Leclerc, du Lycée de Mballa II, du Lycée de Ngoa-Ekellé, du Lycée de Nkol-Eton, du Lycée technique, industriel et commercial, ainsi que du Lycée de Tsinga.
Les candidats postulent dans trois principales catégories. D’abord, les services généraux qui offrent 70 places. Dans la catégorie des spécialités, 390 candidats postulent pour 30 places. Les spécialités concernent les infirmiers diplômés d’Etat, les informaticiens, les techniciens de télécommunication, les techniciens de génie civil et ceux de mécanique automobile. Enfin, de l’ensemble des candidats, 1677 concourent dans la catégorie des spéciaux pour 50 places. Elle est essentiellement réservée aux éléments de la police qui souhaitent accéder au cadre d’officiers et qui ont le diplôme requis. Il s’agit du baccalauréat, diplôme minimum exigé pour l’ensemble des candidats d’ailleurs.
Les candidats ont fait face à deux épreuves. Le matin, une épreuve de culture générale unique pour tous et à traiter pendant quatre heures. Le sujet de la dissertation retenu a porté s...