Douala : une ville bien dans sa CAN

Responsables de l’organisation, acteurs divers et fans de foot ont joué leur partition pour la réussite de l’événement dans la capitale économique.

Un niveau d’effervescence rare, des appréhensions liées aux défis de la mobilité urbaine, les mouvements de foule inévitables, mais à gérer au mieux, les contraintes sanitaires… Les données de l’équation étaient nombreuses, pour l’organisation de la CAN à Douala, ville d’environ 4 millions d’habitants, ville de football. Le challenge, il fallait pourtant le relever. Et si la capitale économique a pu, au final, rendre une copie relativement propre s’agissant du déroulé de l’événement sportif, c’est parce que les différents acteurs à la manœuvre, sous la houlette du gouverneur du Littoral, se sont efforcés de sortir le grand jeu. Même si la partie n’a pas toujours été facile.
Entre autres challenges, celui imposé par le Covid-19. Pour les spectateurs et les hommes de médias, divers points ont été aménagés pour les tests, notamment à la Maison du parti de Bonanjo. Inlassablement, les personnels de santé, déployant parfois des trésors de patience face à des usagers généralement pressés, ont fait tourner la machine anti-Covid, dans tous ses aspects.
Tout aussi sollicités, les fonctionnaires de police auront été des acteurs de premier plan de la CAN à Douala. Parce que le défi de la mobilité n’était pas des moindres. Spécialement les jours de rencontre, bien entendu. Et là, il était question de gérer l’avant et après-match,...

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