Corridor Ouesso-Sangmélima : plaidoyer pour une meilleure gestion

Le premier vice-président de l’Assemblée nationale, Hilarion Etong a reçu vendredi dernier, une délégation de la Ceeac venue parler de l’accélération de la mise en place d’un Comité de gestion.

La Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) souhaite rentabiliser le corridor routier Ouesso-Sangmélima. Au-delà du seul trafic routier et de toutes ses implications, l’institution sous-régionale veut davantage en faire un instrument de développement économique au profit des populations du Cameroun et du Congo. Du coup, les dirigeants ont entamé un plaidoyer auprès des responsables des Chambres parlementaires des pays membres. C’est dans cette logique que s’inscrit l’audience que le premier vice-président (1er Vice-PAN) de l’Assemblée nationale, Hilarion Etong, a accordé le vendredi 8 mars dernier, au nom du président de la chambre, une délégation de la CEEAC.  
Conduite par Marie-Thérèse Ngakono, commissaire à l’Aménagement du territoire et aux Infrastructures, cette mission est venue plaider en faveur de l’accélération de la mise en place du Comité de gestion du corridor auprès du Parlement camerounais. Avec le premier vice-PAN Hilarion Etong, « nous avons abordé les facilités d’adoption du projet de loi y relatif, une fois que le gouvernement l’aura déposé sur la table des députés », a i...

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