« Affaire Rawlings »: Jean Baptiste Placca fait son mea culpa

Le chroniqueur de RFI a admis samedi dernier avoir divulgué des informations non-fondées sur un prétendu appel de l’ancien président ghanéen à une intervention armée au Cameroun

Tout est parti d’informations publiées en fin de semaine dernière par le chroniqueur de Radio France International (RFI) au sujet de prétendues déclarations qu’aurait faites l’ancien chef de l’Etat ghanéen. Jean Baptiste Placca indiquait alors que « Celui que l’on appelait, autrefois le Sankara des anglophones, soutient que la CEDEAO, après la Gambie, devrait aider l’Union africaine à envoyer quelques contingents au Cameroun, pour une mission identique ». Le « Sankara des anglophones » désignant ni plus ni moins que l’ancien président de la République ghanéenne, le capitaine Jerry John Rawlings. Suffisant pour amener le cabinet du concerné à opérer une sortie en milieu de semaine dernière pour démentir les déclarations qui étaient prêtées à l’ancien chef de l’Etat du Ghana. « Le président Rawlings n’a accordé d’interview ni à un média local, encore moins à un média international sur ce sujet », faisait alors remarquer le 22 janvier dernier, Kobina Andoh Amoakwa, de la Cellule de communication de l’ancien N°1 ghanéen. Il condamnait par la même occasion lesdites informations, non sans exclure l’éventualité de poursuites judiciaires qui pourraient être engagées contre les auteurs de telles déclarations, et même des médias ayant servi de relais.
Samedi dernier, dans le cadre d’une chronique consacrée à l’ancien international de football camerounais, Joseph Antoine Bell, Jean Baptiste Placca est revenu sur le sujet pour pr&eacu...

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