Bassin du Congo: on évalue la gouvernance forestière

 Une réunion ouverte lundi à Yaoundé dans le but de planifier l’audit des institutions et programmes de gestion des forêts.

L’AFROSAI, Organisation africaine des institutions supérieures de contrôle des finances publiques, organise depuis lundi, une réunion de concertation sur la planification de l’audit des forêts du Bassin du Congo. Trois objectifs sont visés, notamment, impliquer les chefs des institutions supérieures de contrôle des finances publiques des pays abritant les forêts du bassin du Congo dans le processus de l’audit et les sensibiliser aux mécanismes de gestion des forêts dans le bassin du Congo. Il s’agira également d’aboutir à un accord sur les conditions et les modalités de l’audit comprenant l’adoption d’un budget et d’un chronogramme et le mécanisme d’assurance qualité pour l’audit coopératif. Enfin, adopter un accord de coopération fixant le cadre d’exécution dudit audit.
Le ministre délégué à la présidence en charge du Contrôle supérieur de l’Etat, Rose Mbah Acha, par ailleurs, secrétaire générale de l’AFROSAI, présidait les travaux. A cette occasion, elle a expliqué que l’audit à mener a pour objectif de mettre en lumière les forces et faiblesses des institutions de gouvernance et de gestion des forêts du Bassin du Congo, ainsi qu’à formuler des résolutions pour l’amélioration de la gouvernance forestière dans ledit espace géographique. Pour ce faire, le partage d’idées entre les chefs d’institution supérieures de contrôle des finances publiques (ISC) des pays abritant les forêts du Bassin du Congo est nécessaire afin de tabler sur les conditions et les modalités de l’audit.
Les forêts du Bassin du Congo forment le deuxième massif forestier de la planète après la forêt de l’Amazonie et représentent environ 16% de la superficie forestière mondiale. Pour allier la satisfaction des besoins économiques des populations et de leurs Etats tout en favorisant la protection de l’environnement, les pays abritant ces forêts se sont dotés d’instruments juridiques et de programmes visant à assurer une meilleure gestion de ce patrimoine naturel.
 

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 Une réunion ouverte lundi à Yaoundé dans le but de planifier l’audit des institutions et programmes de gestion des forêts.

 

L’FROSAI, Organisation africaine des institutions supérieures de contrôle des finances publiques, organise depuis lundi, une réunion de concertation sur la planification de l’audit des forêts du Bassin du Congo. Trois objectifs sont visés, notamment, impliquer les chefs des institutions supérieures de contrôle des finances publiques des pays abritant les forêts du bassin du Congo dans le processus de l’audit et les sensibiliser aux mécanismes de gestion des forêts dans le bassin du Congo. Il s’agira également d’aboutir à un accord sur les conditions et les modalités de l’audit comprenant l’adoption d’un budget et d’un chronogramme et le mécanisme d’assurance qualité pour l’audit coopératif. Enfin, adopter un accord de coopération fixant le cadre d’exécution dudit audit.
Le ministre délégué à la présidence en charge du Contrôle supérieur de l’Etat, Rose Mbah Acha, par ailleurs, secrétaire générale de l’AFROSAI, présidait les travaux. A cette occasion, elle a expliqué que l’audit à mener a pour objectif de mettre en lumière les forces et faiblesses des institutions de gouvernance et de gestion des forêts du Bassin du Congo, ainsi qu’à formuler des résolutions pour l’amélioration de la gouvernance forestière dans ledit espace géographique. Pour ce faire, le partage d’idées entre les chefs d’institution supérieures de contrôle des finances publiques (ISC) des pays abritant les forêts du Bassin du Congo est nécessaire afin de tabler sur les conditions et les modalités de l’audit.
Les forêts du Bassin du Congo forment le deuxième massif forestier de la planète après la forêt de l’Amazonie et représentent environ 16% de la superficie forestière mondiale. Pour allier la satisfaction des besoins économiques des populations et de leurs Etats tout en favorisant la protection de l’environnement, les pays abritant ces forêts se sont dotés d’instruments juridiques et de programmes visant à assurer une meilleure gestion de ce patrimoine naturel.
 

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