Fédération camerounaise de volleyball : le feuilleton se poursuit

L’élection de Bello Bourdanne à la présidence de la Fédération camerounaise de volleyball (Fecavolley), le 20 janvier dernier, a semblé ouvrir une nouvelle page. C’était en bout de chaîne du processus électoral déclenché par les 2/3 de l’assemblée générale de 2013 en conformité avec les orientations de la tutelle gouvernementale. C’est d’ailleurs en cette qualité que Bello Bourdanne a pris part jeudi dernier à l’assemblée générale élective du Comité national olympique et sportif du Cameroun (Cnosc). Il a participé au scrutin ayant reconduit Hamad Kalkaba Malboum du fait du certificat de conformité délivré par le ministère des Sports et de l’Education physique valant validation de l’élection du 20 janvier 2023. Au terme des travaux, Bello Bourdanne a intégré le conseil d’administration du CNOSC. Ce qui équivaut aussi à une reconnaissance.
Mais Serge Abouem, qui dirigeait jusqu’alors la fédération, n’accepte toujours pas cette élection. Pour lui, les règles de la Confédération africaine de volleyball et de la Fédération internationale de volleyball n’ont pas été respectées. « Seul le président de la Fécavolley est compétent pour présider les Assemblées générales électives, même quand elles seraient convoquées par les 2/3 », affirmait-il dans un communiqué. Il soutient d&...