Enregistrement des faits d’état civil : il faut parfaire la numérisation

Lors d’une réunion de coordination des services centraux et déconcentrés le 9 février dernier, le Directeur général du Bunec, Alexandre Marie Yomo, a exhorté ses collaborateurs à consolider les acquis.

Le Directeur général du Bureau national de l’état civil (Bunec) a présidé, le 9 février dernier à Yaoundé, une réunion de coordination des services centraux et déconcentrés de cet établissement public. Au cours de cette rencontre, Alexandre Marie Yomo a exhorté ses collaborateurs à consolider les acquis en matière d’enregistrement des faits d’état civil et à davantage parfaire en 2023, le système y relatif mis en place depuis bientôt une dizaine d’années. Et à ce sujet, il a demandé d’impliquer, dans la mesure du possible, tous les maillons de la chaîne de l’état civil pour réussir le processus de numérisation mis en branle et « atteindre 80, sinon 100% d’enregistrement de naissances et décès, conformément au programme de développement durable d’ici 2030 ».
Ces assises du Bunec interviennent quelques mois après la sixième Conférence des ministres africains en charge de l’enregistrement des faits d’état civil (COM6). Des travaux au cours desquels, les experts avaient formulé plusieurs recommandations dans la perspective d’améliorer les systèmes d’état civil dans les pays africains. Pour atteindre l’objectif de 100%, les participants avaient posé comme préalable, la révision et la mise à jour des cadres juridiques et l’intégration du Programme des Nations unies sur « L’identité pour tous » dans les cadres existant. Les acteurs doive...

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