Ali Djoulde : l’homme de la rupture

Le candidat tête de liste de l’UNDP dans la région de l’Est, promet un changement radical dans la vie parlementaire en cas de victoire.

Né en 1968 à Bétaré-Oya, Ali Djoulde, tête de liste aux sénatoriales du 12 mars prochain, milite depuis 1993 dans cette formation politique. Membre titulaire du Comité central, l’homme est un habitué des joutes électorales à l’Est. C’est la troisième participation à une élection sénatoriale. Si en 2013 et 2018, il avait mordu la poussière, il estime avoir plus de chances le 12 mars prochain.  Lui qui est également passé par les législatives en février 2020 et les régionales de la même année. Son parti, rappelle-t-il, incarne l’espoir, le progrès, prône la justice, la gratuité effective de l’école jusqu’à 15 ans. Des valeurs qu’il compte mettre en pratique, une fois élu s’il est élu sénateur, avec ses six autres colistiers. 
Sa feuille de route vise le renforcement du travail parlementaire, le compte rendu parlementaire continue, l’initiation de projets de lois… « Un pa...

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