Scolarisation des filles et fragilité climatique : des progrès et d’importants défis

Le gouvernement camerounais et ses partenaires au développement ont fait le point de la situation au cours de la session satellite de vendredi dernier

« Maintenir les filles à l’école dans le contexte de la fragilité climatique : défis et impact sur le développement durable ». Le thème a meublé la session satellite tenue simultanément aux Nations unies à New York et au siège du bureau pays du Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) à Yaoundé. La séance de travail était co-présidée par Marie-Thérèse Abena Ondoa, ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille (Minproff) et Julia Obananjo, directrice de la division technique au siège de l’Unfpa. Une activité en marge de la 56e session de la Commission de la population et du développement des Nations unies. Dans ce triptyque genre-climat-éducation, tous les aspects de la thématique principale ont été explorés. Il a été démontré que les régions septentrionales du Cameroun sont des zones de plus grande fragilité climatique. De la même façon que les aléas climatiques (inondations, chaleurs extrêmes, sécheresses) et leurs impacts ainsi que le contexte sécuritaire ont un effet négatif sur l’égalité des genres. En retour, le gouvernement camerounais, la société civile et les partenaires au développement du système onusien (Unfpa, Unicef, Unesco) ont mis en exergue les cadres généraux politiques et stratégiques d’intervention. Les zones d’éducation prioritaire, la construction des toilettes spécifiques aux filles dans les établissements scolaires, la sensibilisation au respect de la nature et de l’environnement, les progrès notoires des projets Sahel Women’s Empowerment and Demographic Dividend (SWEDD), « Education Cannot ...

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