Numérique : le Minas insiste sur la protection des enfants

Vendredi dernier, en présidant la 33e édition de la Journée de l’enfant africain, Pauline Irène Nguéné est revenue sur le menaces qui guettent les enfants dans ce milieu.

Honneur et solennité vendredi dernier pour l’enfant africain. C’était vendredi dernier, au cours d’une cérémonie présidée par le ministre des Affaires sociales, Pauline Irène Nguéné. Les festivités de cette 33e édition de la Journée de l’enfant africain était axés sur le thème : « Les droits de l’enfant dans un environnement numérique ». Occasion pour madame le ministre d’interpeller les parents, encadreurs d’enfants à accentuer la protection des enfants sur l’utilisation d’internet. Elle a expliqué que l’accès à internet a augmenté dans le monde entier et en Afrique les spécialistes parlent de 43% de pénétration de l’internet en 2022.  « Ce taux de pénétration inclus les enfants qui représentent un tiers de tous les utilisateurs d’internet dans le monde et sont de plus en plus exposés à l’environnement virtuel », a-t-elle dit. 
Cependant internet est un couteau à double tranchant qui fait du bien et du mal en même temps.
Pauline Irène Nguéné a souligné qu’internet offre des opportunités inestimables pour la réalisation des droits fondamentaux des enfants, tels que le droit à l’éducation, la liberté d’expression et la liberté d’association. « À titre d’illustration, pendant la pandémie Covid-19, l’accès à internet a permis à nos enfants de continuer à bénéficier de leur droit à l’éducation à travers l’apprentissage à distance par le biais du numérique », a-t-elle ajouté. Cependant si le passage du numérique ouvre de vastes perspectives, force est de constater pour le déplorer qu’internet présente aussi les risques de violation des droits de l’enfant. Et l’augmentation de l’utilisation d’internet s’accompagne en effet d’un risque accru de voir les enfants exposés &agr...

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