Commentaire.
Tandis qu’on croyait l’accord de sortie de crise en République démocratique du Congo suffisamment convaincant pour être mis en œuvre, les multiples atermoiements montrent qu’on n’est pas encore sorti de l’auberge.
Depuis le décès d’Etienne Tshisekedi, président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et leader du Rassemblement des forces acquises au changement le 1er février dernier, les différentes composantes de l’opposition peinent à lui trouver un successeur au poste de président du Conseil national de suivi de l’accord et du processus électoral (CNSA). L’une des tentatives de dénicher l’oiseau rare s’est soldée, avant-hier, par un nouvel échec. L’UDPS, qui n’avait pas jusqu’ici présenté un candidat à ce poste, le revendique en même temps que la charge de Premier ministre.
La plate-forme de l’opposition, dénommée G7, estime que l’UDPS ne peut à la fois s’approprier les strapontins de président du CNSA et de Premier ministre. Le gouvernement pense, pour sa part, que la charge de président du CNSA avait été confiée à Etienne Tshisekedi en qualité d’opposant historique. Elle ne saurait automatiquement échoir à l’UDPS. S’agissant de la nomination du Premier ministre, le gouvernement souhaite qu’il soit soumis au ch...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Reactions
De la meme catégorie
Expulsion des migrants vers le Rwanda : feu vert du parlement britannique
- 24 avril 2024 10:13
- 0 likes
Commentaires