Communications électroniques : des militaires chez le régulateur

Les stagiaires de la 18e promotion de l’Ecole supérieure internationale de guerre étaient mardi dernier à l’Agence de Régulation des télécommunications.


Accueil chaleureux réservé mardi aux stagiaires de la 18e promotion de l’Ecole supérieure internationale de guerre (ESIG) par les responsables de l’Agence de Régulation des télécommunications (ART). La délégation de 60 officiers supérieurs issus de 26 pays d’Afrique et d’Europe et conduite par le général de brigade Valère Nka, commandant de l’ESIG a été accueillie par le Directeur général adjoint de l’ART, Zourmba Aboubakar. Objectif de la visite : connaître le fonctionnement de l’ART et le rapport entretenu avec les forces de défense. 
Thomas Marcellin Manyanye, directeur technique intérimaire à l’ART a pris le soin de présenter la structure (son statut et ses différentes missions). Il a également fait un panorama de l’écosystème des télécommunications avec tous les autres acteurs (les opérateurs, les licenciés, les vendeurs, les installateurs) et leurs rôles. Mais le point le plus important de cette présentation a été le fonctionnement du cyber espace et des acteurs qui en ont la charge.
Les auditeurs de la 18e promotion très attentifs à cet exposé d’une trentaine de minutes ont immédiatement réagi. Des questions sur la régulation des contenus inappropriés dans certaines chaînes de télévision ; la responsabilité dans la qualité de service des opérateurs de téléphonie mobile, ou encore le coût élevé de la connexion Internet dans la zone CEMAC ont été posées. A ces préoccupations, le DGA, et ses collaborateurs ont apporté des éléments de réponses. Au sujet de la qualité de service et des sanctions, le DGA a relevé que le fournisseur de la fibre optique est autant sanctionné que les autres opérateurs. Mais au-delà de cette sanction, l’ART accompagne ces derniers afin d’améliorer leurs services...

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