Tournoi Semences olympiques : la compétition sur les rails

Le coup d’envoi de ce rendez-vous réservé au football jeunes a été donné hier matin au Centre technique de la Fédération camerounaise de football à Yaoundé.

Sur le terrain du Centre technique de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Pascal Atangana, le président du Conseil d’administration de Semences olympiques n’est pas content. Et il le fait savoir aux représentants des clubs. « Je ne peux pas accepter qu’on vienne gâter notre tournoi. Ce n’est pas possible que les enfants de plus de 10 ans soient opposés à ceux qui ont effectivement 10 ans. Ils perdent par forfait », tranche Pascal Atangana. C’est ainsi qu’une affiche de la fenêtre des grandes vacances du tournoi international Semences olympiques ne s’est pas jouée hier matin. Pour détecter toutes formes de tricherie, le comité d’organisation de cette compétition qui regroupe cinq catégories (U8, U10, U12, U15 et U17) a choisi de s’appuyer sur la carte nationale d’identité, sur le passeport, sur le bulletin de notes ou le badge délivré par l’établissement scolaire pour être fixé sur l’âge des uns et des autres, mais surtout pas sur l’acte de naissance. 
Pour cette 18e édition qui a démarré hier et s’achève le 21 août prochain, le site d’Odza est réservé aux plus jeunes (U8, U10 et U12). C’est ainsi que l’aire de jeu a été divisée en deux pour permettre à deux catégories de se déployer. Sur l’une des moitiés, le match des U10 dure 10 minutes. Et sur l’autre moitié, les U12 sont en mode 10...

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