Unité : on est bien ensemble

La consolidation de cet acquis est restée au cœur des priorités du Renouveau, à travers plusieurs chantiers.

L’opinion est désormais captivée par le déploiement, à travers le triangle national, de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme. Cet organe   créé le 23 janvier 2017 par le président de la République, est chargé d’œuvrer pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme au Cameroun. Ceci dans l’optique de maintenir la paix ; consolider l’unité du pays ; renforcer la volonté et la pratique quotidienne du vivre ensemble de ses populations. Dans leurs différentes descentes sur le terrain, les membres de la Commission « Musonge » veillent et dénoncent, le cas échéant. Ils veillent notamment à la mise en œuvre des dispositions constitutionnelles faisant de l’anglais et du français deux langues officielles d’égale valeur. Bien plus, la CNPBM est aussi habilitée à mener toute étude ou investigation et proposer toutes mesures de nature à renforcer le caractère bilingue et multiculturel du Cameroun. Dans les hôpitaux, les administrations publiques, les commissariats, les collectivités décentralisées… la Commission Musonge s’assure que chaque Camerounais est servi en fonction de sa particularité linguistique. 
La création de cette structure par le président Paul Biya est bien la matérialisation de la volonté manifeste du président Paul Biya, de préserver le précieux acquis qu’est le vivre ensemble. Avoir un organe de surveillance et de contrôle des actes préjudiciables à l’unité nationale, a permis de limiter les dégâts. Car, avouons-le, des vents contraires à l’idéal du vivre ensemble, ont souvent fortement soufflé, dans l’intention de détruire cette valeur. Avec l’expansion des réseaux sociaux, une certaine diaspora s’est souvent muée en propagandiste d’antivaleurs, avec des messages haineux, des discours clivants, la stigmatisation et la promotion du rejet des autres.
Le président de la République a donc établi la promotion de l’unité et du vivre ensemble comme un des piliers du Renouveau. Cette détermination trouve son fondement dans la Constitution du Cameroun, qui fixe les conditions de l’opérationnalisation du vivre-ensemble : la démocratie, la laïcité, le bilinguisme, la fraternité, la justice et le progrès (cf. article...

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