Arbitrage : la vidéo à la rescousse

Le recours à l’assistance vidéo permet depuis le début de la compétition de limiter les plaintes.

Au moment où la CAN va aborder les quarts de finale, l’arbitrage fait partie des principales satisfactions de la Confédération africaine de football (CAF). « Nous sommes contents de la prestation des arbitres jusqu’ici. Nous travaillons pour améliorer ce qui doit l’être. La répétition corrige les erreurs et c’est ce que nous nous attelons à faire », a affirmé Hugues Alain Adjovi, président de la Commission des arbitres. Les hommes en noir peuvent surtout dire merci à l’assistance vidéo (VAR) qui joue un grand rôle dans cette compétition en Côte d’Ivoire. Face à la Guinée en huitièmes de finale, la Guinée équatoriale a bénéficié d’un penalty après visionnage de la VAR, le central n’ayant pourtant rien vu. Mais le Nzalang nacional ne profitera pas de cette opportunité. Idem pour le Maroc face à l’Afrique du Sud mardi dernier, qui aurait pu égaliser grâce à une action dans la surface revue par la VAR. Résultat, la polémique est moins forte que par le passé pour cette deuxième édition de la compétition qui fait intervenir l’Assistance vidéo dès le premier tour. « Nous avons beaucoup progressé à ce sujet et les gens peuvent voir que les décisions sont plus correctes et plus justes », estime Noumandiez Désiré Doue, directeur de l’arbitrage et de la technologie du football à la CAF.
Si elle aide à limiter les risques d’erreurs, la VAR ne résout pas tous les problèmes d’arbitrage. La preuve avec les plaintes des équipes qui ne manquent pas. L’Algérie a par exemple voulu dép...

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