Production des livres : la Sopecam s’ouvre aux éditeurs

Au cours des Journées portes ouvertes organisées hier à son siège à Yaoundé, la Société de Presse et d’Editions du Cameroun a présenté ses différents atouts.

En guise de qualité et de capacité de production des livres, la Société de Presse et d’Editions du Cameroun (Sopecam) n’a rien à envier aux autres maisons de production d’ici et d’ailleurs. A l’occasion des Journées portes ouvertes organisées hier au sein de l’entreprise par le Directeur général, Marie-Claire Nnana, les éditeurs ont pu se rendre à l’évidence. Au cours d’une visite guidée conduite par Claude Ignace Ozela, directeur de la production de la Sopecam, les visiteurs du jour n’ont pas pu cacher leur émerveillement. De l’atelier de rotative KBA Comet, au press offset en passant par le façonnage et la chaîne de reliure industrielle des livres et la pose des hologrammes, les éditeurs en ont eu pour leur compte.  Avec une rotative qui produit pas moins 75 000 cahiers à l’heure combinée à la presse à feuille qui font chacune 14 000 feuilles. Et une chaîne de reliure industrielle qui peut produire 50 000 livres à l’heure, la Sopecam a de quoi répondre à toutes les attentes de sa clientèle. En guise de qualité et de capacité de production, tout y est. 
Au terme de cette opération de charme, les hôtes de l’entreprise éditrice du quotidien national bilingue « Cameroon Tribune » se sont dit « très impressionnés ». « La Sopecam produit des livres de très bonne qualité qu’on peut avoir ailleurs. On n’est pas obligé d’aller imprimer des livres hors du pays. Nous avons une grande imprimerie au Cameroun et nous devons imprimer nos livres au pays et consommer camerounais comme le recommande le chef de l’Etat, en encourageant la production locale », s’est réjoui Jacques Seraphin Djiba des...

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