Enseignement supérieur: Le BTS sur les rails

C alme absolu dans la cours de l’Institut universitaire Matamfen (IUMA) hier mardi aux environs de 9h30. Les candidats sont face aux épreuves écrites du Brevet de technicien supérieur (BTS) et c’est l’épreuve de français qui passe. Puis suivront les spécialités qui vont s’achever à 18h. Dans chaque salle d’examen, deux à trois surveillants sont postés. Aucune communication entre candidats n’est acceptée. Et tous les gestes suspects sont contrôlés. Ce sous-centre d’examen accueille uniquement les candidats de la spécialité Ressources humaines, soit 436 enregistrés. Ici, les perruques et pull-overs sont interdits. Selon Liberatus Tah, directeur de l’IUMA, cette mesure a été adoptée pour limiter les cas de tricherie. A l’Institut supérieur de technologie appliquée et gestion (ISTAG), un autre sous-centre d’examen, c’est la concentration totale dans les salles de composition. Ici, le registre affiche un total de 565 candidats. Ils composent dans les filières Gestion logistique et transport, Maintenance des appareils biomédicaux, Design et mode, Génie culinaire, Energie renouvelable, entre autres. Selon Amougou Ekata’a, chef de sous-centre, « tout se déroule bien depuis le démarrage de la première épreuve. Aucune absence, ni tricherie n’a été enregistrée ». A 11h, plusieurs candidats avaient remis leurs copi...