Le discours sur le changement climatique délivré , avant-hier, par le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, Antonio Gutteres, traduit la nécessité de mettre en œuvre l’accord obtenu à Paris en 2015. De nombreux observateurs se souviennent que 147 pays et entités avaient signé le texte historique visant à limiter le réchauffement climatique à moins de deux degrés Celcius en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Parmi les signataires de l’accord historique se trouvaient les Etats-Unis d’Amérique. Les Etats-Unis qui, avec la Chine, figurent parmi les pays les plus pollueurs de la planète ne s’étaient pas seulement contentés de signer le document consacrant la fin des travaux du 21e sommet de la conférence des parties sur le climat (COP 21), ils avaient également pris des engagements dans le sens de diminuer les gaz à effet de serre de l’ordre de 20 à 30 %, au même titre que la Chine.
Il reste cependant que l’engagement des Etats-Unis pour la limitation du réchauffement climatique s’est refroidi. Bien que le changement climatique s’impose encore comme une urgence. Au-delà de la nouvelle position américaine, l’ONU estime que la menace brandie par le changement climatique est si grave que ce phénomène est un multiplicateur des autres calamités notamment la pauvreté, les déplacements des populations et les confl...
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