Lutte contre la corruption: la CONAC mobilise les acteurs institutionnels

 La rédaction du rapport 2016 sur l’état de la lutte contre le fléau au centre d’une série de rencontres ouvertes hier à Yaoundé

Ils venaient de diverses administrations publiques et même de la société civile. Ils ont en charge la coordination des cellules de lutte contre la corruption dans ces administrations et même au sein de certaines organisations non étatiques. Réunis hier autour du président de la Commission nationale anti corruption (CONAC), Rév Dr Dieudonné Massi Gams, dans une concertation dont l’objectif majeur est le renforcement de la collaboration avec la Commission pour la rédaction du rapport sur l’état de la corruption au Cameroun. Cette rencontre se veut donc un échange d’idées, car pour le président de la CONAC, « la lutte contre la corruption n’est pas l’apanage de la CONAC, elle concerne chacune et chacun d’entre nous ». Une recommandation qui s’appuie sur les dispositions de l’article 38 de la Convention des Nations unies contre la corruption du 31 octobre 2003 qui rappelle aux différents Etats parties à la Convention, les mesures à prendre pour encourager, conformément à son droit interne, la coopération en vue de faire face aux conséquences de ce fléau. Dans le cadre de l’élaboration du rapport sur l’état de la lutte contre la corruption au Cameroun, et même dans l’éradication du phénomène, Dieudonné Massi Gams a insisté sur le rôle majeur des autres acteurs.
Pour le président de la CONAC, le rapport sur l’état de la lutte contre le fléau devrait gagner en intérêt en cessant d’...

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