An 50 de l’Unité nationale : Yaoundé est prête

La répétition générale du défilé civil et militaire a eu lieu hier matin, au Boulevard du 20 mai, en présence de nombreuses personnalités.

C’est le moment le plus redouté chez les éléments des troupes à pied des forces de défense et de sécurité appelés à prendre part au défilé : le briefing après un passage devant la tribune officielle. Une mauvaise appréciation du haut commandement militaire peut être synonyme de reprise de l’exercice. Le briefing après le passage d’hier a été suivi d’un long échange entre le général de corps d’armée, chef d’état-major des armées, René Claude Meka et le général de brigade Agha Robinson Ndong, commandant des troupes pour la parade militaire. Gestes à l’appui, le général de corps d’armée René Claude Meka semblait expliquer à son interlocuteur ce qui, à son avis, n’avait pas marché. Et la sentence est tombée quelques minutes plus tard : le passage des troupes à pied était à reprendre, au même titre que tout le rituel le précédant : simulation de l’arrivée du président de la République, chef des forces armées, accueil par le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, hymne national, revue des troupes, accueil à l’entrée de la tribune présidentielle et installation. Devait donc suivre le défilé. D’abord le carrousel, exécuté par la musique principale des armées puis le passage du commandant des troupes dans son command car.
L’on aura le loisir d’admirer le pas des éléments du détachement des forces armées congolaises, invités à cette 50e édition de la fête nationale du Cameroun. Comment rester insensible au passage des élèves officiers de l’Ecole militaire interarmées (Emia), de celui des éléments de la Garde présidentielle, des autres composantes de l’armée, de la gendarmerie, de la police, de l’administration pénitentiaire, de la douane. Que dire du passage des anciens combattants,...

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